Akabane Kurodo a écrit :C'est vrai que Si c'est un Homme est remarquablement écrit. L'auteur n'essaie pas d'effrayer le lecteur en décrivant les pires horreurs des camps de concentration (style que j'aurais tendance à qualifier de "mediatisé", même si c'est un mot trop léger pour parler d'une telle tragedie), il se contente de faire un compte rendu froid et presque objectif, et je dois avouer que c'est ça qui m'a le plus touché, et qui fait que je temoigne le plus profond respect envers cet homme, même après sa mort.
Je pense que c'est un livre que chacun se doit de lire, ne serait-ce que pour comprendre la souffrance de ces Hommes.
Ca me rappelle la fois où je suis allé visiter un camp de concentration avec ma classe (j'étais en 4ème). Il était tout en haut d'une montagne et le vent qui y soufflait était glacial, bien que nous étions en avril. On aurait dit qu'aucune couche de vêtement ne pouvait proteger de ce vent. Un pote m'a dit que le vent ici était possedé par l'esprit des morts. En temps normal, ça m'aurait fait rire, mais à ce moment-là, j'étais prêt à le croire.
Je vous passe la description, de ce qu'on y a vu, je n'ai pas envie de former de pensée concrète à propos de ça dans ma tête...
C'etait juste quelque chose que je voulais partager avec vous, j'y repense chaque fois qu'on me parle de camps de concentration...
J'ai lu
Si c'est un Homme sous l'influence de mon prof d'histoire, qui avec son cours a réussi à tous nous "passionner" sur ce sujet, notamment en nous racontant l'histoire d'un de ses oncles déporté, etc... C'est la première fois que j'approndis un cours en lisant un bouquin conseillé par un prof. Je le regrette pas.
Par contre pour la visite du camps de concentration je trouve ça trop hardos, on devrait pas montrer ça à des collégiens... C'est vrai que c'est un point très important de notre histoire et qu'il ne faut surtout pas oublier ce qui s'y est passer, mais en faire un lieux de visite je trouve ça malsain, surtout je le répète, pour des collégiens...
... 
. Je perd trop mon temps avec ça 
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