Passion-GTO - Le forum

Maeda a écrit :PDJ: Il faut que le FC Barcelone arrête de gagner.

Ant a écrit : Pdj : Alors là, chapeau à la partie de mon cerveau qui scénarise mes rêves, parce que la nuit dernière, c'était juste grandiose !

Master_Sephiroth a écrit : Pdj2: Oh my god dans à peine 20jours je pars au Canada ça me fait vraiment bizarre, première fois que je vais prendre l'avion
Un peu de stress, mais pas que pour l'avion en réalité mais bon...

Eikichi Onizuka a écrit : Tu en as trop dit, balance!

Eikichi Onizuka a écrit :

Ant a écrit : Pdj : Alors là, chapeau à la partie de mon cerveau qui scénarise mes rêves, parce que la nuit dernière, c'était juste grandiose !

Tu en as trop dit, balance!

Master_Sephiroth a écrit :
Pdj2: Oh my god dans à peine 20jours je pars au Canada ça me fait vraiment bizarre, première fois que je vais prendre l'avion
Un peu de stress, mais pas que pour l'avion en réalité mais bon...

Maeda a écrit :

Eikichi Onizuka a écrit :

Ant a écrit : Pdj : Alors là, chapeau à la partie de mon cerveau qui scénarise mes rêves, parce que la nuit dernière, c'était juste grandiose !

Tu en as trop dit, balance!

Hahahaha +1

Onerasan a écrit :PdJ : Plus que deux semaines

Ant a écrit :@ Eikichi Onizuka, Saku, Kopa et Maeda :

Han... mais ça va être chiant, je ne me souviens plus de tout... Enfin bon, vous l'aurez voulu !

1ère partie : Au début, je me retrouve dans une espèce de galerie commerciale et je suis plutôt énervé. Et là, je ne sais pas tellement pourquoi, je commence à défoncer un mec et pas qu'un peu à la vue de ça jambe qui fait un angle pas très normal. Bref, je pars de là, parce que j'ai pas envie de faire plus de dégats, mais ses potes me poursuivent en criant "arrêtez-le, arrêtez-le". Détail particulier, le plafond de la galerie est en papier. J'aperçois un trou de le plafond et comme je vole (logique), je passe par ce trou pour me retouver dans le faux plafond (en fait il y en a 2, mais on s'en fout, hein). Donc là, j'ai semé les débiles qui me cherchaient mais pas un autre mec (que je connais), beaucoup plus intelligent qui m'a retrouvé et qui essaie de me destabiliser psychologiquement et aussi de me tirer dessus par la même occasion. En plus il vole aussi ! L'affrontement se délocalise des faux-plafonds vers le centre-ville (ville que je ne connais pas au passage). Bon comme c'est moi le héros, j'évite tout, logique. Et la fin de cette partie, je ne m'en souviens plus.


2ème partie : Retour dans la galerie commerciale qui s'est transformé en une sorte d'école avec des élèves qui attendent avant de rentrer dans leur classe. Je suis à bord de... comment dire... un espèce de bureau à roulette, qui je ne sais pas comment, à le pouvoir d'embêter tout le monde, et ce machin qui embête tout le monde, c'est moi qui en ait le contrôle. En gros, ça permet de pousser des gens et de soulever d'autres bureaux. Bien entendu, je prends un malin plaisir à utiliser ce gadget un peu partout. Bon, évidemment, je finis par me faire repérer. Je rentre vite fait dans une classe, avec mon "bureau à roulette qui embête tout le monde", j'abandonne ce bureau, et je m'assoie normalement, pile avant que la prof arrive. Et ensuite, bah, ça se passe bien pendant le cours, même très bien : je parle, je fais à peu près ce que je veux (enfin, comme quand j'étais au lycée quoi !)... Voilà...


3ème partie : Nouveau lieu, nouveaux perso, nouvelle ambiance. En gros des townships-buildings (en pierres quand même) à perte de vue avec au milieu une grosse forteresse habitée par une sorte de reine et toute sa clique. Je vole toujours et je peux aussi passer au travers des "trucs pas trop gros". Je suis également en compagnie d'une fille (que je ne connais pas) et je ne me souviens plus si on s'entend bien ou pas, même si on reste ensemble dans la progression. A un moment donné, il se passe un truc (je suis sûr que vous visualisez parfaitement en ce moment !)... Toujours est-il qu'un gros déluge s'abat sur cet environnement. Au menu, pluie, tremblements de terre, building qui tanguent et qui tombent en ruine... Je crois aussi que la fortesse est complètement détruite parce que les sbires de la reine posent des fausses-cloisons (ouais, rêves sous le signe du BTP...) dans les restes des buildings du township pour recréer l'intérieur de palais écroulé. Alors là, peut-être que c'est la reine qui est responsable du déluge, je ne suis plus sûr, mais je pars avec la fille à la recherche de la reine, mais c'est pas pour lui témoigner notre amitié. Bref, on parcourt (en volant, c'es plus classe) le dédale du township, on se faufile entre les fausses-cloisons avec les grosses cales (ça, je passe à travers, ça me permets de foncer en ligne droite) qui les maintiennent aux vrais murs. Bon, on la trouve pas. On retourne dans les ruines de la forteresse du centre. La reine est bien là. Là, la fille fait un espèce de mouvement, comme si elle essayait de trancher l'air (à peu près comme Barbe-Blanche dans One Piece, mais on plus rectiligne). Je vous passe les effets spéciaux qui déchirent leur race... A ce moment, j'ai l'impression que le déluge s'intensifie, plus rien à faire de la reine, on s'en va, mais où je sais pas. Donc là, c'est une course contre la montre sur les étages les plus hauts des buildings ravagés par la tempête et qui tanguent encore plus forts. Et je ne me souviens pas de la fin, c'est peut-être que je me suis réveillé.

A la relecture, je trouve que c'est beaucoup moins intense que ce que j'ai réellement révé... Tant pis, 'faut assumer ! Ça manque de précision dans mes descriptions et dans mes impressions. mais en même temps, si j'utilisais pas ce style haché et délié, je serais obligé rajouter des éléments, ce qui trahirait complètement le rêve. Là, c'est fidèle, mais incomplet...

Mais en même temps, un rêve peut-il être complet ? Doit-on romancer la narration d'un rêve ou au contraire, doit-on se satisfaire de ces bribes de souvenirs et d'impressions comme les pièces d'un puzzle plus complexe à assembler ? (vous avez 4 heures)

Mais je vous jure que c'était vachement bien !


Pdj : Réinvestir un rêve, c'est vachement dûr sans brain-screen-shots !

Eikichi Onizuka a écrit :

Ant a écrit :@ Eikichi Onizuka, Saku, Kopa et Maeda :

Han... mais ça va être chiant, je ne me souviens plus de tout... Enfin bon, vous l'aurez voulu !

1ère partie : Au début, je me retrouve dans une espèce de galerie commerciale et je suis plutôt énervé. Et là, je ne sais pas tellement pourquoi, je commence à défoncer un mec et pas qu'un peu à la vue de ça jambe qui fait un angle pas très normal. Bref, je pars de là, parce que j'ai pas envie de faire plus de dégats, mais ses potes me poursuivent en criant "arrêtez-le, arrêtez-le". Détail particulier, le plafond de la galerie est en papier. J'aperçois un trou de le plafond et comme je vole (logique), je passe par ce trou pour me retouver dans le faux plafond (en fait il y en a 2, mais on s'en fout, hein). Donc là, j'ai semé les débiles qui me cherchaient mais pas un autre mec (que je connais), beaucoup plus intelligent qui m'a retrouvé et qui essaie de me destabiliser psychologiquement et aussi de me tirer dessus par la même occasion. En plus il vole aussi ! L'affrontement se délocalise des faux-plafonds vers le centre-ville (ville que je ne connais pas au passage). Bon comme c'est moi le héros, j'évite tout, logique. Et la fin de cette partie, je ne m'en souviens plus.


2ème partie : Retour dans la galerie commerciale qui s'est transformé en une sorte d'école avec des élèves qui attendent avant de rentrer dans leur classe. Je suis à bord de... comment dire... un espèce de bureau à roulette, qui je ne sais pas comment, à le pouvoir d'embêter tout le monde, et ce machin qui embête tout le monde, c'est moi qui en ait le contrôle. En gros, ça permet de pousser des gens et de soulever d'autres bureaux. Bien entendu, je prends un malin plaisir à utiliser ce gadget un peu partout. Bon, évidemment, je finis par me faire repérer. Je rentre vite fait dans une classe, avec mon "bureau à roulette qui embête tout le monde", j'abandonne ce bureau, et je m'assoie normalement, pile avant que la prof arrive. Et ensuite, bah, ça se passe bien pendant le cours, même très bien : je parle, je fais à peu près ce que je veux (enfin, comme quand j'étais au lycée quoi !)... Voilà...


3ème partie : Nouveau lieu, nouveaux perso, nouvelle ambiance. En gros des townships-buildings (en pierres quand même) à perte de vue avec au milieu une grosse forteresse habitée par une sorte de reine et toute sa clique. Je vole toujours et je peux aussi passer au travers des "trucs pas trop gros". Je suis également en compagnie d'une fille (que je ne connais pas) et je ne me souviens plus si on s'entend bien ou pas, même si on reste ensemble dans la progression. A un moment donné, il se passe un truc (je suis sûr que vous visualisez parfaitement en ce moment !)... Toujours est-il qu'un gros déluge s'abat sur cet environnement. Au menu, pluie, tremblements de terre, building qui tanguent et qui tombent en ruine... Je crois aussi que la fortesse est complètement détruite parce que les sbires de la reine posent des fausses-cloisons (ouais, rêves sous le signe du BTP...) dans les restes des buildings du township pour recréer l'intérieur de palais écroulé. Alors là, peut-être que c'est la reine qui est responsable du déluge, je ne suis plus sûr, mais je pars avec la fille à la recherche de la reine, mais c'est pas pour lui témoigner notre amitié. Bref, on parcourt (en volant, c'es plus classe) le dédale du township, on se faufile entre les fausses-cloisons avec les grosses cales (ça, je passe à travers, ça me permets de foncer en ligne droite) qui les maintiennent aux vrais murs. Bon, on la trouve pas. On retourne dans les ruines de la forteresse du centre. La reine est bien là. Là, la fille fait un espèce de mouvement, comme si elle essayait de trancher l'air (à peu près comme Barbe-Blanche dans One Piece, mais on plus rectiligne). Je vous passe les effets spéciaux qui déchirent leur race... A ce moment, j'ai l'impression que le déluge s'intensifie, plus rien à faire de la reine, on s'en va, mais où je sais pas. Donc là, c'est une course contre la montre sur les étages les plus hauts des buildings ravagés par la tempête et qui tanguent encore plus forts. Et je ne me souviens pas de la fin, c'est peut-être que je me suis réveillé.

A la relecture, je trouve que c'est beaucoup moins intense que ce que j'ai réellement révé... Tant pis, 'faut assumer ! Ça manque de précision dans mes descriptions et dans mes impressions. mais en même temps, si j'utilisais pas ce style haché et délié, je serais obligé rajouter des éléments, ce qui trahirait complètement le rêve. Là, c'est fidèle, mais incomplet...

Mais en même temps, un rêve peut-il être complet ? Doit-on romancer la narration d'un rêve ou au contraire, doit-on se satisfaire de ces bribes de souvenirs et d'impressions comme les pièces d'un puzzle plus complexe à assembler ? (vous avez 4 heures)

Mais je vous jure que c'était vachement bien !


Pdj : Réinvestir un rêve, c'est vachement dûr sans brain-screen-shots !

Moi je trouve ta précision assez hallucinante. J'ai rarement eu la possibilité de me souvenir aussi bien d'un rêve.
En tout cas j'ai copié collé dans word, ça fera un excellent scénario de film à vendre.... )