Passion-GTO - Le forum

Fuji "Comme promis par mes soins, voici le sous-directeur Uchiyamada. Et si en attendant je vous chantais un petit générique de série télé? Non? Tant pis."

Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps

Micro en main dans son costume habituel, il se lance dans cette chanson pour faire le bilan de sa vie.

Il n'y a pas si longtemps j'avais 20ans et la vie devant moi. Toutes ces soirées où je suis allé boire avec des amis, je ne les comptais pas car j'avais le temps.

J'ai fait tant de projets
Qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le cœur mis en terre

J'avais des projets et des espoirs mais ils n'ont rien donné et maintenant je ne sais pas où aller et mes yeux cherchent une réponse dans le ciel mais mon coeur a changé.

Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé

J'avais 20 ans et je perdais mon temps en essayant d'aller plus vite que lui, espérant qu'il s'arrêterait mais j'ai perdu mon souffle.

Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture

Je me foutais du passé, je ne voyais que le futur et dans chaque conversation j'exprimais mon avis et je critiquais le monde avec désinvolture.

Hier encore
J'avais vingt ans
Mais j'ai perdu mon temps
A faire des folies
Qui ne me laissent au fond
Rien de vraiment précis
Que quelques rides au front
Et la peur de l'ennui

J'avais 20 ans mais j'ai fait des folies qui ne m'ont rien apportée si ce n'est mes rides et la peur de m'ennuyer

Car mes amours sont mortes
Avant que d'exister
Mes amis sont partis
Et ne reviendront pas
Par ma faute j'ai fait
Le vide autour de moi
Et j'ai gâché ma vie
Et mes jeunes années

Avant même qu'ils aient existé, j'avais perdu mes amours, j'ai perdu mes amis par ma faute et je sais qu'ils ne reviendront pas. J'ai gâché ma vie et mes années de jeunesse.

Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé

J'avais 20 ans et je perdais mon temps en essayant d'aller plus vite que lui, espérant qu'il s'arrêterait mais j'ai perdu mon souffle.

Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture

Je me foutais du passé, je ne voyais que le futur et dans chaque conversation j'exprimais mon avis et je critiquais le monde avec désinvolture.

Du meilleur et du pire
En jetant le meilleur
J'ai figé mes sourires
Et j'ai glacé mes pleurs
Où sont-ils à présent
A présent mes vingt ans?

Pour le meilleur comme pour le pire j'ai figé mes sourires et mes peurs. Où sont-ils mes 20 ans?

Une fois son bilan fini, il quitte la scène et continue à réfléchir à cela.

Fuji "Un bilan rondement mené par notre sous-directeur favori. On reprendra avec Myu Wakui juste après une courte interruption."

Excusez mais j'ai pas eu l'accès internet pendant un ptit bout de temps alors ce soir le chapitre 11.

Chapitre 11: Illusions

Li et Shindo cherchaient les dossiers en balayant la pièce de leur lampe torche. Ils étaient plus préoccupés par ces dossiers que par la présence de Kunikida. Celui-ci d'ailleurs se posa cette question.
- Je pourrais savoir ce que vous cherchez ?
- Ceci est une information confidentielle, répondit Li
- Oh, je vois
- Et vous, que cherchez vous ? demanda Shindo
- A ton avis si je suis ici c'est pour une enquête sur la contrefaçon ? Rhalala, Shindo, je sais pas comment t'as réussi à entrer dans Tokko.
- Comment ça ?
- Si je suis ici c'est pour trouver des trucs sur ce que vous enquêtez, d'ailleurs vous aussi.
- Vous savez au moins ce que vous cherchez ? demanda Li
- Et bien pas vraiment...
- Nous on sais ce qu'on cherche c'est pourquoi on a toujours une longueur d'avance sur vous Li lui fit un grand sourire
*Mmh cee type me tape sur les nerfs* pensa Kunikida
Shindo remarqua quelque chose dans un coin. Il s'approcha et vit des papiers dans des pochettes. Il les saisit, les observa un peu. Ils avaient l'air vieux car ils ont jaunis. Il appela Li.
- Li, je crois que j'ai trouvé ce qu'on cherche
- Vrai ??!!? il acoura en direction de Shindo. Fait voir.
Il les prit et les ouvrit. De l'hébreu. C'était écrit en hébreu.
- Très bien, partons.
- Attendez, c'est quoi ça ? demanda Kunikida
Shindo essayait de comprendre le charabia qui était écrit. Il vit en bas d'une page une signature. Même pas le temps de la déchiffer un drôle de bruit se fait entendre. Des sortes de murmures, des plaintes, des pleurs, des rires compltèment hystériques. Les trois hommes regardent autour d'eux en se demandant ce qui arrive.
Shindo cache les dossiers dans sa veste. Il poss sa main sur un mur. Drôle de sensation au touché. Il regarde sa main. Du sang. Elle est pleine de sang. Il tourne la tête pour regardé le mur. Le mur saigne. Les murs saignent. Du sang goûte du plafond.
- Courez vers la sortie sans vous arrêtez !! ordonna Li
Shindo se mit à courir sans regarder. Les murmures devenaient presque des cris et ils l'appelaient
- Shindo viens à nous. Tu ne veux donc pas dire au revoir à tes parents
Shindo stoppa net. Il se retourna et vit...ses parents ensanglantés.
Son sang se glassa dans ses veines
- Viens dire au revoir à tes parents
- Non Shindo ce n'est qu'une illusion !!!
Li et Kunikida ne voyaient pas les parents de Shindo mais ils les entendaient appelés Shindo.
- Papa, maman, j'arrive
- Non Shindo !!!
- J'arrive...
Shindo s'écroula par terre. Kunikida essaya de le réveiller en lui donnant des tapes sur la joue. Li se prépara à accueillir un démon. Et il avait raison, un démon apparu en sortant d'un mur. Le combat va être rude.


Fin du chapitre 11.

Wow j'avais zappé ça moi !!!
Ca fait un moment que j'ai posté le chapitre 11 alors ce soir le chapitre 12.

Chapitre 12: Les larmes de la maison

Shindo est toujours dans le coma. Kunikida essaye de le réveiller en lui donnant des baffes sur les joues mais rien.
A côté, Li lutte tant bien que mal contre un démon envoyant une armée d'insecte sortant des cascades de sang coulant des murs.
Ces insectes sont vulnérables aux coups de feu. Kunikida en va jusqu'à vider le chargeur de son pistolet. Au moment où il dut changer, in insecte lui monta sur une épaule. Il l'écrasa avec la crosse de son arme.
- Putain c'est quoi cette connerie de mes deux !!!???!! cria t-il à Li
- Je ne saurais vous dire exactement mais je pense que ce monstre veut nous tuer, répondit Li
- Monstre de mon cul, tu vas voir ce que je vais en faire !!!
Kunikida tira dans le tas et toucha le démon à plusieurs reprises. Les plaies se refermaient tout de suite
- Il ne craint pas les armes à feu
- Merci j'avais remarqué !!!
Le combat reprit de plus belle. A cela s'ajoutait ces murmures, ces cris, ces pleurs et ces rires sortant de nul part. Shindo ne bougeait toujours pas et Kunikida commença à ne plus avoir de munitions pour tuer les insectes.
Li commençait à fatiguer. Son poignet lui faisait mal et il n'avait jamais le temps de reprendre son souffle malgré l'enseignement reçu à Shaolin.
Kunikida n'a plus de balle, Li n'arrive plus à porter son épée. Les deux hommes se mettent contre Shindo pour le protéger.
Les insectes, comme commandé par le démon, encèrclèrent les trois hommes.
Tout d'un coup ils s'arrêtèrent. Les murmures, les cris, les rires, les pleurs.
Le monstre disparaissa dans le sol et les insectes partirent en poussières. Le sang ne coulait plus des murs.
Enfin une lumière au bout du couloir. Li et Kunikida transportèrent Shindo hors de ce couloir de la mort.
Le jour dehors déclinait et une lumière rougeâtre tapait contre les murs de Machida.
Shindo se mit à rouvrir les yeux.
- Shindo, ça va ? lui demanda Li
- Euh...ça pourrait aller mieux mais ça pourrait aussi être pire
- As tu les dossiers sur toi ?
- Euh...oui
Il fouilla dans sa veste et en sortit une grosse paperasse
- Magnifique, nous avons ce que nous cherchions !!! s'exclama Li
- Bah c'est cool, maintenant j'aimerais savoir ce que c'est, dit Kunikida sur un ton désinvolte
- Ceci se trouvait avec la boîte qui s'est ouverte et à laisser sortir tout ces monstres. C'est écrit en hébreu mais la qualité du papier est beaucoup trop contemporaine pour dater de l'Antiquité en esperant de trouver un autre indice, lui expliqua Li
- Hum si je puis me premettre, commença Shindo, j'ai trouvé une signature en japonais en bas d'une page.
Il se mit à chercher dans les papiers et montra du doigt un endroit de la dernière feuille à Li et Kunikida.
- Tamagoshi. Ce nom peut être un autre indice.
- Tamagoshi ?? Attendez !! C'est le député qui a été kidnappé par on ne sait pas qui !! Mais oui Yoshi Tamagoshi !! J'enquête sur son kidnapping !!
- Hum...le papier a l'air bien vieux pour que ce soit Yoshi Tamagoshi qui ait signé ça, expliqua Shindo, je pense que nous devrions emmener ces dossiers au labo pour faire une datation au carbone 14, en même temps on y enverrai le dessin que tu as trouvé dans la boîte à Kyoto, et ensuite nous pourrons voir si cela a un sens.
- Pour l'instant je ne trouve aucun sens à votre putain d'histoire !!! cria Kunikida
- Cela n'est pas important pour le moment, Kunikida san je vous conseille de faire très attention, ces démons peuvent intervenir à tout moment. dit Li
- Ouais ouais, ne pas divulger d'infos secrètes à une personne qui ne fait pas partie de l'affaire, vérifier si l'on est pas sur écoute, si l'on est pas suivi, tout ça je connais c'est le manuel de police que j'avais utilisé pour me torcher le cul quand j'avais plus de pécu.
- Qu...que dit il ? demanda Li à Shindo
- Il dit qu'il fera très attention
- C'est pas ce que j'ai dit connard !!!
- Bien !!! Kunikida san ce fut une joie de vour revoir maintenant Li et moi devons retourner au bureau, au revoir.
Shindo prit Li par la manche et courut en direction de la voiture
*P'tain, faudrait lui remettre la tête en place au Shindo*

- Disons que vous les aurez demain.
Le scientifique du labo de police de la section Tokko n'avait que 30 ans mais il en faisait 10 de plus. Dix ans de loyaux services scientifiques pour la police. Il en avait vu des cadavres à analysés. L'odeur des morts ne le repoussait plus. Et pourtant malgré toutes ces visions d'horreur qu'il a vu, il souriait comme ci de rien n'était
- Ok demain.
- Oui n'ayez crainte
- Bien, alors Li, ça te dit de bouffer mexicain ce soir ?
- Pourquoi pas mais Saya ?
- Oh Saya elle est trèèès occupée en ce moment tu comprends ?
- Oh oui je vois
*C'est MA soeur et je n'aime pas quand un mec s'approche trop de MA soeur*

Et pourtant Shindo n'avait pas tout à fait tort car Saya était vraiment occupée.
- Saya tu sais que ton nouveau coéquipier t'attend dans le bureau du chef ?
- Quoi c'est vrai ??? Oh merde je suis en retard !!!
Elle coura à toute vitesse vers le bureau de son chef
- Saya vous êtes en retard de 7 minutes et 47 secondes, prononca son chef de manière la plus diplomatique qu'il soit
- Excusez moi, je devais classer un dossier.
- Bien, voici votre nouvel équipier, Takuma Oshito.
Un homme d'au moins une vingtaine d'années, cheveux longs et châtains, se tenait devant Saya en lui tendant une main amicale
- Ravi de faire votre connaissance, dit il du ton le plus doux et le plus aimable qu'il soit
- Je suis moi aussi ravie.


Et voilà le chapitre 12 est fini.
Je m'excuse pour les fautes d'orthographe et de temps mais après avoir écrit un texte long comme ça d'une traite, j'ai un peu la flemme de tout relire.

C'est pas bien arz, il faut vérifier mles fautes d'orthographe!

J'ai adoré la première parie du chapitre, ça m'as beaucoup fais pensé à Sillent Hill. Continue Arz ,j'ai hate de lire la suite

midori a écrit :C'est pas bien arz, il faut vérifier mles fautes d'orthographe!

J'ai adoré la première parie du chapitre, ça m'as beaucoup fais pensé à Sillent Hill. Continue Arz ,j'ai hate de lire la suite

Je sais mais:

ça m'as

on écrit "ça m'a"

fais pensé

on écrit "fait penser"
Je déconne, juste pour la rigolade
Je sais que c'est pas bien mais bon écrire sur pc est plus dur que sur feuille car on ne voit que le clavier et on ne fait pas toujours attention.

Ce soir le chapitre 13 (attention à ne pas être maudit et faire un truc tout pourrave )
Dans ce chapitre vont être révélé des choses importantes mais l'histoire continuera encore pendant plusieurs épisodes tout en gardant un suspens.

Chapitre 13: Quand les aigles attaquent

Cela fait une demi heure que Li et Shindo attendent dans un couloir blanc du laboratoire de la section Tokko.
Quelques chaises disposées à intervalle régulier, des tuyaux traversant le couloir de part en part sur le bord du mur. Un couloir qui donne une impression de froid. Carelage blanc, murs blanc, chaises blanches et lumières blanches.
Enfin, un scientifique daigna sortir d'une pièce. Il se dirigea vers Li et Shindo qui se levèrent.
- Voici les papiers que vous m'avez donner à analysé et là, le rapport d'analyse, leur dit le scientifique au grand sourire malgré tous les cadavres qu'il avait vu.
Shindo feuilleta le rapport
- Les papiers que j'ai analysé datent précisément de 1933 les deux, reprit le scientifique.
- 1933 !!?? Comment ça se fait ??!! s'exclama Shindo
- 1933 dites vous... En effet c'est étrange, dit Li
Après avoir quitté le scientifique, ils montèrent voir Sakura.
Shindo remarqua une lueur dans les yeux de Li comme si il avait une idée derrière la tête.
Ils entrèrent dans le bureau de Sakura. Un bureau simple, un téléphone, une lampe, un support pour stylo, deux étagères l'une à côté de l'autre et une plante.
- Sakura, pourrais tu nous amener aux archives des impôts, lui demanda Li
- Pourquoi, t'as pas payé tes impôts ? Sakura fut étonnée tout comme Shindo de la demande de Li.
- Sakura tu sais que moi et Shindo avons trouvé une signature dans les papiers qu'on a trouvé à Machida, et que c'est la signature d'un Tamagoshi et nous aimerions savoir si c'est un Tamagoshi de la famille du député qui s'est fait enlever. J'ai fait mes petites recherches cette nuit sur ton ordinateur Shindo, ces recherches portaient sur la famille Tamagoshi dont le grand père du député Yoshi Tamagoshi, il s'appelait Daichi, avait été le ministre des finances et j'aimerais pouvoir voir sa signature pour comparer avec celle de nos papiers et voir si il y a un lien de parenté entre la famille Tamagoshi et ce Tamagoshi de Machida.
Shindo semblait ne pas avoir tout compris mais Sakura avait compris.
- Très bien allons y maintenant, nous devrions ne pas avoir de problème car les membres de Tokko ont beaucoup de droits.
Ils partirent tout les trois au ministère des finances.
Les gardiens les laissèrent passés en voyant leur carte de Tokko.
Ils allèrent aux archives.
- Est ce que nous pourrions consulter un dossier signé par l'ancien ministre des finances, Daichi Tamagoshi ? demanda Sakura à une secrétaire tout en lui montrant sa carte de Tokko
- Euh je ne sais pas si je peux... leur répondit la secrétaire
- Et avec 15 000 yens si vous nous laissiez passer ?
Sakura tira de sa poche 15 000 yens. Li et Shindo furent surpris du comportement de corruption engendré par Sakura. Mais cela porta ses fruits, la secrétaire prit l'argent et les mena à une étagère d'où elle sorti un vieux dossier.
- Faites très attention
- Oui n'ayez crainte
Li prit les papiers de Machida à la main et compara les signatures.
Les mêmes. Ce sont les mêmes. Daichi Tamagoshi, grand père de Yoshi Tamagoshi, a signé ces papiers.
Ils sortirent tout les trois et décidèrent d'aller interroger le frère de Yoshi Tamagoshi, Taku Tamagoshi.
Taku Tamagoshi est le PDG d'une compagnie de télécommunication et s'est fait connaître pour quelques problèmes de corruption et de traffic d'influence. Il est le premier suspect pour le kidnapping de son frère car il parait que Taku faisait beaucoup de prêts d'argent à Yoshi mais n'arrivait pas le remboursé. Il nie ces faits.
Le building de sa compagnie se trouve à Shinjuku.
Sakura, Shindo et Li demandèrent une consultation avec Taku Tamagoshi. Leur carte de Tokko les favorisait beaucoup.
Ils furent conduits au dernier étage dans un petit salon avec climatisation, mini bar et fauteuils confortables.
Au bout de vingt minutes, un homme habillé en costume cravatte, cheveux noirs, les yeux perçant entra dans le petit salon d'un pas assuré.
- Je me présente je suis Taku Tamagoshi, on m'a dit que des membres de Tokko demandaient un entretien, dit il d'une voix calme mais vive digne d'un grand homme d'affaire.
- Oui nous somme de Tokko et je vais venir très vite aux faits, lui répondit Sakura. Li, passe moi les papiers de Machida.
Li les lui passa et Sakura montra la feuille avec la signature de Daichi Tamagoshi
- Ceci est la signature de votre grand père. Vous ne pouvez le nié car nous avons déjà vérifié.
- Oui et où voulez vous en venir ?
- Ces papiers ont été trouvé à Machida. Rappelez vous de ce qui s'est passé à Machida il y a cinq ans ? lui demanda Sakura qui savait très bien qu'il était dans une mauvaise position.
- Oh il y aurait eu la mort de toutes les personnes de ce complexe d'immeubles mais je crois que vous avez frappé à la mauvaise porte car je n'ai rien à voir avec ça.
- Pas vous mais votre grand père comme vous pouvez le voir sur cette feuille avec sa signature.
- Et alors cela ne veut pas dire qu'il en ait la cause !! il commençait à s'énerver
- Ces papiers sont écrits en hébreu. Plutôt étrange non ? En plus ils ont été trouvé dans un bunker non mentionné dans les archives de l'armée enfoui sous terre. Maintenant je vais vous dévoiler une information tenue secrète par Tokko.
- Oh oui, ça devient palpitant !!
- La cause du massacre des habitants de Machida est une boîte. Une vulgaire boîte dont s'est échappé des démons qui ont ensuite tué tout le monde.
- Intéressant, j'ai des amis qui pourraient vous aider à publier ces histoires.
- Pas la peine de déranger vos amis. Alors résumons. Des dossiers écrits en hébreu et signé de la main de votre grand père plus une boîte qui s'est ouverte et à laisser s'échapper des démons qui ont massacré les habitants de Machida plus un maillon important de la chaîne qui confirme mes dires, le kidnapping de votre frère.
- Le hasard fait bien les choses.
- Dans ce cas le hasard n'y est pour rien alors je vous prie de nous dire tout ce que vous savez.
- C'est bête parce que je ne sais rien !! il était de plus en plus énervé.
- Nous pouvons vous priver de vos biens et vous finirez à la rue. Vous ne pourrez rien faire mais je vais être clémente, si vous dites tous alors rien ne vous arrivera et on vous oubliera.
- Vous voulez la vérité c'est ça ?!!? Eh bien je n'ai pas kidnappé mon frère !!!
- Je ne parle pas de ça ducon.
Elle lui flanqua une belle droite qu'il ne pus contré. Il se retrouva par terre.
- Maintenant je vous conseille vivement de dire la vérité !!
- Très...très bien...vous voulez la vérité ? Cela va vous paraître absurde mais c'est la vérité. Il se releva et s'assit dans un fauteuil. Il prit une profonde inspiration et commença:
Mon grand père a fait parti d'une secte qui avait prit naissance en Allemagne en 1928. Elle fut chassée de l'Allemagne en 1929 d'une part à cause de la crise économique mais aussi car elle avait des problèmes avec la justice. Des hommes haut placé en faisaient partie. La secte s'installa à New York mais fut aussi chassée en 1932 pour des raisons de justice car cette secte procédait à des sacrifices humains pour dévorer l'âme des victimes et permettre l'ouverture d'une boîte pour que les mauvaises âmes de l'Enfer envahissent la Terre et trouvent une bonne âme.
Donc cette secte s'installa à Tokyo. En 1933 le grand maître fut mon grand père. Mais il avait derrière lui des hommes qui le surveillaient. C'était des allemands car... il reprit une profonde inspiration, cette secte devait permettre de faire apparaître des démons pour aider les nazis. En effet en 1929, l'Allemagne n'était pas encore nazie et c'est en 1933 que la secte connue son essor ce qui explique les dossiers signés par le grand maître, mon grand père. Pour ne pas avoir de problèmes ils utilisaient l'hébreu comme langue pour "énervé" les âmes soi disantes anti sémites pour qu'elles apparaissent plus facilement ce qui est complètement absurde.
Pendant toute la guerre ils ont essayés d'ouvrir cette boîte mais en 1945, mon grand père sentait la défaite et il usa de sa richesse pour construire un bunker clandestinement et caché la boîte et les dossiers. Les allemands voulaient savoir l'emplacement du bunker mais mon grand père ne leur avait rien dit. Il fut donc tué et le secret de l'emplacement du bunker aussi. La secte fut dissoute après car tous les membres se suicidèrent. La suite vous la connaissez...
Sakura, Li et Shindo restèrent bouche bée. Ils s'attendaient à tout mais pas ça. Une secte pour aider les nazis. Est ce que Yoshi Tamagoshi voudrait redonner naissance à cette secte ?


Et voilà pour le chapitre 13.
Maintenant on peut comprendre la signification du titre que j'ai donné à ce chapitre car c'est le titre d'un film traitant de la secondre guerre mondiale (film que j'aime beaucoup d'ailleurs

Lol, je viens de lire les derniers chapitresque t'as fais et ils assurent! Génilale la référence à Silent Hill dans le 11! Une histoire riche et bien ficelée pour une simple fanfic!


Pour fuji, les thèmes des personnages de ta song-fic sont bien choisis!

Hello les gens. A partir de demain je reviens avec mes fics ( en fait une seule pour l'instant qui s'intitule "Les sentiments que l'on se cache" ) tout en faisant des fics de romance comme je l'avais promis.
Au programme : Uéhara/Yoshikawa; Onizuka/Fuyutsuki et deux ou trois autres...

Salut salut! Voici le premier chapître de mon nouveau délire. Comme d'habitude les actions sont en italiques, les pensées en petit et les dialogues en normal.

Chapître 1: Réalités ou...?

Azusa se tenait devant Ekichi et venait de lui avouer ses sentiments. Celui-ci se leva et commença à parler Moi aussi je t'aime Azusa. je t'aime depuis la première fois que je t'ai vu et je pense que tu es celle que j'ai toujours attendue. Il la prit dans ses bras et entreprit de l'embrasser quand une sonnerie se fit entendre. Mais j'ai débranché mon téléphone, ça ne devrait pas sonner! D'ailleurs ce n'est pas la sonnerie de mon téléphone. Voyant Onizuka disparaître Non, reste avec moi! Tu dois encore m'embrasser! Elle sortit de son rêve et remarqua que l'heure d'aller travailler approchait.

Anko attendait Yoshikawa à la fin des cours. Celui-ci arriva, visiblement content. Je vois que tu as été patiente. Et ta patience va être récompensée. On m'a dit que tu m'avais martyrisé uniquement parce que tu m'aimais...je voulais te dire que moi aussi j'ai des sentiments pour toi.
Il m'aime! C'est génial!!! Anko n'arrivait pas à contenir sa joie...jusqu'à ce qu'un bruit de main que l'on frappe sur une porte la ramène à la réalité : sa mère l'appellait afin qu'elle vienne déjeuner et ne soit pas en retard à l'école.

Dans de nombreuses têtes le même rève : pouvoir avouer ses sentiments à quelqu'un que l'on aime et qu'il nous aime en retour. Toujours le même rève qui régissait la vie de plusieurs élèves ou professeurs. Seuls certains d'entre eux ne révaient pas à cela et étaient loin de se douter de la tournure que les évènements allaient prendre en cette journée bizarre.

A suivre. Lâchez-les coms, devinez qui n'a pas fait ce genre de rève et ce qui risque d'arriver par la suite qui arrive ce soir ( pour info je compte faire une douzaine de chapîtres, peut-être un peu plus )
Bonne lecture et bonnes spéculations!

Moi je dirais, pour ceux qui n'en ont pas revé...Kikuchi et Tokiwa, ou ptet Murai et Fukada...
Pour la suite, ce serait un suite d'évènements poussant Anko a laché quelques infos en parlant avec le gringalet, ou encore une discussion sérieuse entre le GTO et Fuyu, discussion sentimentale qui les amènerait à parler encore plus profondément...à moins que ce soient ceux qui ne revent pas qui fassent le 1er pas sans le vouloir.
Je pense donc que ces reves vont les faire gamberger toute la journée.

Me revoilà! Donc voici la suite.

Chapître 2 : Réunions de crise

La journée de cours se déroula normalement si ce n'est que certaines personnes avaient du mal à rester concentrées. A la fin, plusieurs groupes se formèrent, des groupes qui étaient unisexes.

Du côté des filles

- J'arrive pas à croire que tu rêves sans cesse de lui! C'est à croire que t'en es amoureuse. Tokiwa se moquait d'Anko.
- C'est surment le cas. Miyabi prenait la défense de sa camarade. De toute façon, y a aucune honte à être amoureuse d'un garçon. Je sais de source sure que certains garçons sont amoureux de certaines filles.
- Et alors, qu'est-ce que ça peut nous faire? Urumi semblait agacée par ses discussions futiles à son goût.
- Ca va, pas besoin de jouer ta rabat-joie! On sait toutes que t'as pris un rateau par Onizuka...et je suis sur que toi tu rêves de lui. Tokiwa riait à gorge déployée.
- Tu vas voir toi! Reviens ici! Urumi se lança à la poursuite de sa camarade.

Du côté des garçons

- Alors comme ça Muraï tu rêves de la belle Aoï Fukada? Kusano était mi surpris, mi ironique.
- Ah laisse-le rêver s'il veut! Fujiyoshi savait très bien ce que Muraï pouvait ressentir. C'est pas un crime. En plus je suis sur qu'on rêve tous d'une personne.
- N'importe quoi! Kikuchi était affligé. En plus, c'est pas les oignons des autres. Pourquoi en parler?
- Parce qu'on peut aider à faire savoir la chose et...
- Faire savoir quoi? Onizuka venait d'arriver dans le groupe. Soyez pas timides, dîtes-moi. On est potes ou non?

Du côté des filles où Urumi a attrapé Tokiwa.
- Et si on s'avouait toutes entre nous de qui on rêve la nuit, on pourrait s'aider mutuellement, lança Aoï Fukada qui était avec elles depuis le début. Ca serait plus simple.
- Qu'est-ce qui serait plus simple? Fuyutsuki venait d'apparaître comme par enchantement.

A suivre! Commentez, spéculez,laissez vos impressions...mais exprimez-vous! La suite demain.

Suite à un problème personnel sur un jeu internet, je n'ai pas pu poster la suite ce soir, je le ferai demain sans fautes ( m'enfin s'il n'y a que Hebus qui lit... )

Voilà le chapître 3. Désolé pour le retard.

Chapître 3 : Peut-on tout dire?

Après leurs réunions de crise les groupes restèrent ensemble à l'exception d'Onizuka qui était rentré chez lui.

Du côté des garçons où Fujiyoshi menait le jeu.

-Aller Kusano, dis-nous de qui tu as rêvé et de quelle façon tu en as rêvé!
- Bah...euh...en fait j'ai rêvé de Tokiwa, répondit un Kusano rouge jusqu'aux oreilles. Je rêvais que j'étais assez fort pour la protéger et qu'elle elle m'aimait en retour. C'était super car j'avais enfin le cran de dire ce que j'ai toujours voulu lui dire.
- Ok donc Kusano c'est fait. Takumi, à toi.
- J'ai rêvé de personne.
- Oh aller, joue le jeu.
- Je n'ai rêvé de personne je vous dis! Il commençait à s'énerver. C'est pas compliqué à comprendre!
- Ok ok te fâches pas. Muraï on sait tous de qui il a rêvé.
- Et alors, ça te pose un problème?
- Non non, aucun.

Du côté des filles où c'est Fukada qui pose les questions.

-Alors, par qui on va commencre? Anko? On veut plus de détails sur ton rêve.
- Bah y a pas grand chose à dire si ce n'est que je n'avais pas bseoin d'avouer à Yoshikawa mes sentiments mais qu'il les avait découvert.
- Ok. A qui le tour? Mlle?
- Je ne sais pas si je dois le dire...j'ai rêvé d'Ekichi. Le nom qu'elle pronoça fut à peine plus audible qu'un murmure.
- QUOI? Urumi, Tokiwa et Fukada hurlèrent en même temps. VOUS AVEZ REVE DE LUI? COMMENT C'ETAIT?
- En fait je lui disais que je l'aimais et lui aussi me disait la même chose.

Elle est amoureuse d'Onizuka! C'est pas possible! COMMENT JE VAIS FAIRE? Les trois filles qui avaient crié pensèrent à la même chose.


A suivre. Si d'autres personnes qu'Hebus ont lu, qu'elles s'expriment! La suite demain.

Suite à mon envie de voir la suite de la fic d'arz, je poste la suite de la mienne.

Chapitre 4: Le même rêve.

Profondèment endormie, Urumi rêve d'Onizuka, comme depuis quelques temps déjà. Elle s'imagine ce que serait sa vie si son professeur avait dit oui sur la grande roue.
Urumi se voyait mariée, avec 3 enfants et une vie tout ce qu'il y a de banal...sauf qu'avec Onizuka comme mari, rien n'est banal. Chaque jour apporterait son lot de surprise et de prise de tête avec les enseignants à cause du vocabulaire châtié d'Onizuka.
Son réveil la ramena à la réalité : même si elle elle aimait son professeur, celui-ci ne la voyait que comme une élève avec qui il s'entendait bien. Elle décida de tout faire pour conquérir son coeur.

Onizuka venait de soulever sa jupe et de montrer à tout le monde sa culotte avec des fraises...sauf qu'ils étaient tous seuls dans la pièce. Moi j'aime bien les fraises. fut la seule chose qu'Onizuka dit avant que Tokiwa ne se retourne et lui répondre Moi c'est vous que j'aime. Depuis le premier jour je vus aime et je sais que je vous plais. avant de lui rouler le plus beau patin de sa vie de puceau à 22 ans.
Son père l'appellant pour la conduire à l'école la tirer de sa rêverie avant qu'elle n'aille plus loin dans l'effeuillage de son professeur. Il faut qu'il soit à moi! Fut la première phrase de Tokiwa ce matin.

Bien qu'elle ne soit pas dans la classe dont Onizuka avait la charge, elle l'admirait et cette admiration s'était mué en amour. Elle était en train de disputer un match important de badminton lorsqu'elle l'apperçut dans les tribunes. Cela lui fit perdre ses moyens et elle perdit le match. Une fois sa douche prise, elle s'apprêtait à rentrer quand elle fondit en larmes. Onizuka était là pour la consoler aussi en profiat-t-elle pour lui dire ce qu'elle ressentait. Mademoiselle Fukada, vous êtes charmante et je dois dire que j'éprouve le même genre de sentiments à votre égard. avant de lui déposer un doux et tendre baiser sur ses lèvres. Son réveil dissipa ce doux rêve et Aoï Fukada se sentait troublée : aimait-elle Onizuka? Jusqu'à quel point? Elle décida de lui parler afin d'en être sure.

La suite demain ( en espérant que plus de deux personnes la lisent ).

Jolie, continu, continu