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hebus
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Sacré mise en place de l'intrigue! Ca prend une tournure encore plus suspense et ça me plait! J'espère que la suite sera à la hauteur, et pas une autre leçon de vie sur les vertus de l'amitié blablabla... Ce sera plus complexe que ça? Mais bon, c'e'st pas moi qui ait l'imagnation pour faire ça, alors...
Je sais pas si vous le méritez vu que vous avez pas fait de commentaires sur le troisième chapitre mais comme j'ai deux chapitres pivôts de l'histoire qui sont terminés et prêts à être postés, je vous livre le chapitre 4 maintenant et le 5 cet après-midi.
Chapitre 4 : Toujours aussi doué.
Au dojo Sadamu le senseï observait bien les deux élèves qui se faisaient face, shinaïs à la main. Un coup de tambour et les deux se lancèrent à l'attaque. Celui de droite porte une série de coup destinés à évaluer le niveau de son adversaire mais celui-ci les esquivait et les parait avec une facilicité remarquable. Intérieurement le senseï sourit : il avait ceci dans le sang, on ne pouvait expliquer cette étonnante facilité autrement.
L'assaut se poursuivit, rythmé par les battements sur les tambours. Petit à petit, de façon imperceptible sauf pour un oeil exercé, il commencé à prendre le dessus sur l'autre. Chacune des attaques de son adversaire était évitée ou paré que ce soit avec son arme ou avec son avant-bras, en évitant de contrer le tranchant de la lame directement grâce à de légères rotations du coude juste avant l'impact.
Les tambours devenaient presque entêtant pour les deux combattants. Une seule frappe, une seule attaque qui passa la garde de son adversaire, une nouvelle fois à l'aide d'une rotation de l'épaule. Le combat prit fin sur cette attaque qui avait trouvé un angle mort dans la défense. Le senseï remarqua que le combattant avait fait porté les efforts principaux sur ses épaules et non sur ses poignets, qu'il n'avait toutefois pas complétement ménagés, comme l'aurait fait un autre.
Il était dans un état indescriptible : la joie de ne pas avoir perdu la main pendant ces mois infernaux se mélait immanquablement à la colère qu'il éprouvait en pensant à cette interdiction se manier le bokken ou le shinaï. Interdiction ridicule, il en avait maintenant la preuve. Seul dans le dojo, avec l'accord du senseï, il ôta la veste de son kimono dévoilant quelque chose que l'on ne s'attendait surement pas à voir sur un garçon de 14 ans : un gigantesque tatouage représentant un ryu rouge qui lui couvrait la quasi-totalité du dos. Un oeil peu exercé aurait cru qu'il s'agissait d'un de ces tatouages modernes fait à l'aiguille dans une boutique occidentalisée. Un expert pouvait voir que celui-ci avait été fait à la manière traditionnelle, presque à l'encre.
Maniant ses deux sabres d'entrainement l'un après l'autre, il repensa à ce qu'il avait vécu durant ces 9 derniers mois, à cet enfer qui lui avait ôté tellement. Les pensées se bousculèrent dans son esprit et deux autres se firent distinctes : une qui datait d'il y a 10 mois et qui avait déclenché sa tentative de suicide après une suite d'évènements; une autre, plus ancienne, mais qui état le point de départ de tout. Une blessure vieille de 8 ans mais qui refusait de se fermer complétement. Un visage lui apparu, un visage familier mais qu'il détestait.
Il se lança dans une série de coups désordonnés pour chasser cette vision qui lui faisait horreur. Sa rage décuplait la puissance de ses bras, sa haine lui faisait frapper cet ennemi invisible partout où cela lui serait fatal. La transpiration rendit ses bandages glissant et il lâcha son arme. Tout en se calmant et en se rhabillant, une pensée lui vint à l'esprit : et s'il était comme lui? Après tout cela était fort possible vu que... Un bruit de métal qui tombe sur le sol lui ramena l'esprit à la réalité. Son katana qui était hors du fourreau gisait au sol. En le voyant il sourit. Il ne pouvait pas être comme lui, il était un Yoneda, un descendant de samouraï.
Plaçant son pied sous la lame, il entreprit de la faire se relever en la lançant en l'air. Une rapide rotation de son corps et il tournoya, rattrapant la lame de la main droite et stoppant son mouvement à moins d'un centimètre du visage d'Azusa Fuyutsuki. Sans sa maîtrise hors du commun, elle serait morte, la tête tranchée. Un sourire cynique se dessina sur son visage quand il vit qu'elle était venue avec Onizuka et d'autres élèves de sa classe. La demonstration pouvait commencer.
Chapitre 4 terminé. Soyez pas avares en commentaires.
EDIT pour Hebus qui a posté pendant que j'écrivais : Si tu as des hypothèses sur ma fic, je t'invite à les mettre dans ce sujet afin que tout le monde puisse en profiter ( cette ramarque est valable pour tous les lecteurs, qu'on se le dise! )
http://passion-gto.forumactif.com/viewtopic.forum?t=733
Chapitre 4 : Toujours aussi doué.
Au dojo Sadamu le senseï observait bien les deux élèves qui se faisaient face, shinaïs à la main. Un coup de tambour et les deux se lancèrent à l'attaque. Celui de droite porte une série de coup destinés à évaluer le niveau de son adversaire mais celui-ci les esquivait et les parait avec une facilicité remarquable. Intérieurement le senseï sourit : il avait ceci dans le sang, on ne pouvait expliquer cette étonnante facilité autrement.
L'assaut se poursuivit, rythmé par les battements sur les tambours. Petit à petit, de façon imperceptible sauf pour un oeil exercé, il commencé à prendre le dessus sur l'autre. Chacune des attaques de son adversaire était évitée ou paré que ce soit avec son arme ou avec son avant-bras, en évitant de contrer le tranchant de la lame directement grâce à de légères rotations du coude juste avant l'impact.
Les tambours devenaient presque entêtant pour les deux combattants. Une seule frappe, une seule attaque qui passa la garde de son adversaire, une nouvelle fois à l'aide d'une rotation de l'épaule. Le combat prit fin sur cette attaque qui avait trouvé un angle mort dans la défense. Le senseï remarqua que le combattant avait fait porté les efforts principaux sur ses épaules et non sur ses poignets, qu'il n'avait toutefois pas complétement ménagés, comme l'aurait fait un autre.
Il était dans un état indescriptible : la joie de ne pas avoir perdu la main pendant ces mois infernaux se mélait immanquablement à la colère qu'il éprouvait en pensant à cette interdiction se manier le bokken ou le shinaï. Interdiction ridicule, il en avait maintenant la preuve. Seul dans le dojo, avec l'accord du senseï, il ôta la veste de son kimono dévoilant quelque chose que l'on ne s'attendait surement pas à voir sur un garçon de 14 ans : un gigantesque tatouage représentant un ryu rouge qui lui couvrait la quasi-totalité du dos. Un oeil peu exercé aurait cru qu'il s'agissait d'un de ces tatouages modernes fait à l'aiguille dans une boutique occidentalisée. Un expert pouvait voir que celui-ci avait été fait à la manière traditionnelle, presque à l'encre.
Maniant ses deux sabres d'entrainement l'un après l'autre, il repensa à ce qu'il avait vécu durant ces 9 derniers mois, à cet enfer qui lui avait ôté tellement. Les pensées se bousculèrent dans son esprit et deux autres se firent distinctes : une qui datait d'il y a 10 mois et qui avait déclenché sa tentative de suicide après une suite d'évènements; une autre, plus ancienne, mais qui état le point de départ de tout. Une blessure vieille de 8 ans mais qui refusait de se fermer complétement. Un visage lui apparu, un visage familier mais qu'il détestait.
Il se lança dans une série de coups désordonnés pour chasser cette vision qui lui faisait horreur. Sa rage décuplait la puissance de ses bras, sa haine lui faisait frapper cet ennemi invisible partout où cela lui serait fatal. La transpiration rendit ses bandages glissant et il lâcha son arme. Tout en se calmant et en se rhabillant, une pensée lui vint à l'esprit : et s'il était comme lui? Après tout cela était fort possible vu que... Un bruit de métal qui tombe sur le sol lui ramena l'esprit à la réalité. Son katana qui était hors du fourreau gisait au sol. En le voyant il sourit. Il ne pouvait pas être comme lui, il était un Yoneda, un descendant de samouraï.
Plaçant son pied sous la lame, il entreprit de la faire se relever en la lançant en l'air. Une rapide rotation de son corps et il tournoya, rattrapant la lame de la main droite et stoppant son mouvement à moins d'un centimètre du visage d'Azusa Fuyutsuki. Sans sa maîtrise hors du commun, elle serait morte, la tête tranchée. Un sourire cynique se dessina sur son visage quand il vit qu'elle était venue avec Onizuka et d'autres élèves de sa classe. La demonstration pouvait commencer.
Chapitre 4 terminé. Soyez pas avares en commentaires.
EDIT pour Hebus qui a posté pendant que j'écrivais : Si tu as des hypothèses sur ma fic, je t'invite à les mettre dans ce sujet afin que tout le monde puisse en profiter ( cette ramarque est valable pour tous les lecteurs, qu'on se le dise! )
http://passion-gto.forumactif.com/viewtopic.forum?t=733
Modifié en dernier par Fuji le 07 mai 2006, 18:42, modifié 7 fois.
Comme annoncé par mes soins voici le 5e chapitre de ma fanfic.
Chapitre 5 : Une démonstration intéressante.
Azusa Fuyutsuki regardait cet élève droit dans les yeux. Elle était terrifiée à l'idée qu'il aurait pu la tuer sans le moindre mal. Son trouble ne se remarquait toutefois pas puisqu'elle s'était juré qu'elle deviendrait forte et prendrait des initiatives. Le calme de Fuyutsuki contrastait avec l'agitation qui s'emparait d'Onizuka.
- Rhaaa! Le salaud! Il a failli la tuer! He toi! Pourquoi t'as fait ça?
- Elle t'a rien fait, surenchérit Urumi qui perdait son calme de façon flagrante. T'es complétement malade ou quoi?
Les autres élèves de la 3e3 étaient du même avis. Sur le conseil de Fuyutsuki ils étaient tous venus. L'agitation les gagnait tous à l'exception de Kikuchi qui essayait de comprendre comment Toshiro avait pu deviner leur présence avec une exactitude incroyable.
- Malade ou pas, il lui faut une bonne correction. Onizuka s'apprétait à poser un pied sur le tatami quand la lame vint se placer devant sa gorge. La peur se lisait chez les élèves car aucun n'était à l'abri en cas de faux mouvement de leur part.
- D'accord. Vous allez me donner un correction. Mais pas sur ce tatami, vous risqueriez de le salir. Un sourire se dessina sur les lèvres du bretteur. Quittant le tatami il remit ses sandales et emmena tout le monde dans un jardin.
- On va se battre ici. Prenez une arme, n'importe laquelle sur le ratelier que vous voyez là-bas, et en garde.
- Tu crois que c'est vrai cette rumeur qui court sur lui? Muraï s'était tourné vers Kikuchi. Tu crois qu'il a déjà blessé un prof auparavent?
- J'en sais rien. Peut-être juste une rumeur, peut-être la vérité.
Onizuka saisit un morceau de métal, taillé en forme de tube, et se mit en position. Il ne savait pas vraiment manier le sabre mais savait utiliser une barre de fer. En face de lui Toshiro avait fermé les yeux. Il voyait pourtant tout ce qui l'entourait : les élèves, les profs et même le décor. Ses longues heures de méditation allaient finalement lui servir. Affichant un calme impressionant, il se mit en garde dans la position de la libellule ( le sabre à côté de la tête ).
Le combat débuta par un assaut désordonné d'Onizuka. Un sourire passa furtivement sur les lèvres de l'élève : ce prof était tombé dans le panneau, il allait jouer avec lui avant de l'humilier. Parant et esquivant les attaques de l'ancien bozu, il conserva l'avantage de façon imperceptible pour Onizuka. Ce dernier s'épuisait à tenter de frapper un courant d'air qui passait partout autour de lui.
Après 5 minutes de combat Onizuka décrèta qu'il en avait marre de frapper dans le vide. Se plantant face à lui, Toshiro sourit et dit Maintenant c'est mon tour! En rouvrant les yeux il jeta un regard enflammé sur son adversaire, attaquant de toute part avec une rapidité inouïe. Onizuka fut vite débordé et se retrouva la lame sur la gorge
- Pitoyable. Vous ne valez guère mieux que tous les autres que j'ai affronté jusqu'à présent. Persuadés qu'étant profs il me battraient facilement, ils se sont tous retrouvés dans la même situation...avec des séquelles plus ou moins visibles.
Disant cela il désigna le pantalon d'Onizuka et la flaque qui se trouvait à ses pieds. Les élèves étaient dégoutés, Fuyutsuki médusée et Onizuka paralysé. Otant la lame de la gorge d'Onizuka, Toshiro entreprit de rentrer chez lui, écartant les autres élèves qui le craignaient. Fuyutsuki s'approcha de son collègue et ne put s'empécher de penser Mais qui est ce gamin? Comment a-t-il fait pour maitriser ses coups? Il aurait pu tuer Eikichi sans problème!
Pendant qu'Urumi, Muraï et les autres allèrent donner des claques à Onizuka pour la honte qu'il avait subie, Kikuchi observa à nouveau Toshiro et fut à nouveau intrigué par ces fameux bandages aux poignets qui avaient conditionnés la façon de combattre de son camarade : en utilisant ceux-ci au minimum, il parvenait à attaquer là où on ne l'attendait pas. Il comprit que ces bandages étaient la clé du mystère.
Toshiro était satisfait : il venait de démontrer à tous qu'il était capable de mettre son arme à portée de sang, il estimait sa démonstration intéressante. Une légère douleur au poignet gauche lui rappella qu'il avait un peu forcé avec celui-ci. Il devrait donc faire plus attention la prochaine fois.
Fin du chapitre 5. Comme d'habitude, lachez vos commentaires sur les trois chapitres si vous venez de les lire, les deux derniers si vous aviez lu le n°3 ou le dernier si comme Hebus vous aviez déjà tout lu.
J'attends beaucoup de commentaire. Demain le chapitre 6 et après-demain...vous patienterez trois semaines mais j'ai prévu de vous laissez un espace pour essayer de comprendre ce qui a modifié Toshiro comme cela, espace mis en lien plus haut.
Chapitre 5 : Une démonstration intéressante.
Azusa Fuyutsuki regardait cet élève droit dans les yeux. Elle était terrifiée à l'idée qu'il aurait pu la tuer sans le moindre mal. Son trouble ne se remarquait toutefois pas puisqu'elle s'était juré qu'elle deviendrait forte et prendrait des initiatives. Le calme de Fuyutsuki contrastait avec l'agitation qui s'emparait d'Onizuka.
- Rhaaa! Le salaud! Il a failli la tuer! He toi! Pourquoi t'as fait ça?
- Elle t'a rien fait, surenchérit Urumi qui perdait son calme de façon flagrante. T'es complétement malade ou quoi?
Les autres élèves de la 3e3 étaient du même avis. Sur le conseil de Fuyutsuki ils étaient tous venus. L'agitation les gagnait tous à l'exception de Kikuchi qui essayait de comprendre comment Toshiro avait pu deviner leur présence avec une exactitude incroyable.
- Malade ou pas, il lui faut une bonne correction. Onizuka s'apprétait à poser un pied sur le tatami quand la lame vint se placer devant sa gorge. La peur se lisait chez les élèves car aucun n'était à l'abri en cas de faux mouvement de leur part.
- D'accord. Vous allez me donner un correction. Mais pas sur ce tatami, vous risqueriez de le salir. Un sourire se dessina sur les lèvres du bretteur. Quittant le tatami il remit ses sandales et emmena tout le monde dans un jardin.
- On va se battre ici. Prenez une arme, n'importe laquelle sur le ratelier que vous voyez là-bas, et en garde.
- Tu crois que c'est vrai cette rumeur qui court sur lui? Muraï s'était tourné vers Kikuchi. Tu crois qu'il a déjà blessé un prof auparavent?
- J'en sais rien. Peut-être juste une rumeur, peut-être la vérité.
Onizuka saisit un morceau de métal, taillé en forme de tube, et se mit en position. Il ne savait pas vraiment manier le sabre mais savait utiliser une barre de fer. En face de lui Toshiro avait fermé les yeux. Il voyait pourtant tout ce qui l'entourait : les élèves, les profs et même le décor. Ses longues heures de méditation allaient finalement lui servir. Affichant un calme impressionant, il se mit en garde dans la position de la libellule ( le sabre à côté de la tête ).
Le combat débuta par un assaut désordonné d'Onizuka. Un sourire passa furtivement sur les lèvres de l'élève : ce prof était tombé dans le panneau, il allait jouer avec lui avant de l'humilier. Parant et esquivant les attaques de l'ancien bozu, il conserva l'avantage de façon imperceptible pour Onizuka. Ce dernier s'épuisait à tenter de frapper un courant d'air qui passait partout autour de lui.
Après 5 minutes de combat Onizuka décrèta qu'il en avait marre de frapper dans le vide. Se plantant face à lui, Toshiro sourit et dit Maintenant c'est mon tour! En rouvrant les yeux il jeta un regard enflammé sur son adversaire, attaquant de toute part avec une rapidité inouïe. Onizuka fut vite débordé et se retrouva la lame sur la gorge
- Pitoyable. Vous ne valez guère mieux que tous les autres que j'ai affronté jusqu'à présent. Persuadés qu'étant profs il me battraient facilement, ils se sont tous retrouvés dans la même situation...avec des séquelles plus ou moins visibles.
Disant cela il désigna le pantalon d'Onizuka et la flaque qui se trouvait à ses pieds. Les élèves étaient dégoutés, Fuyutsuki médusée et Onizuka paralysé. Otant la lame de la gorge d'Onizuka, Toshiro entreprit de rentrer chez lui, écartant les autres élèves qui le craignaient. Fuyutsuki s'approcha de son collègue et ne put s'empécher de penser Mais qui est ce gamin? Comment a-t-il fait pour maitriser ses coups? Il aurait pu tuer Eikichi sans problème!
Pendant qu'Urumi, Muraï et les autres allèrent donner des claques à Onizuka pour la honte qu'il avait subie, Kikuchi observa à nouveau Toshiro et fut à nouveau intrigué par ces fameux bandages aux poignets qui avaient conditionnés la façon de combattre de son camarade : en utilisant ceux-ci au minimum, il parvenait à attaquer là où on ne l'attendait pas. Il comprit que ces bandages étaient la clé du mystère.
Toshiro était satisfait : il venait de démontrer à tous qu'il était capable de mettre son arme à portée de sang, il estimait sa démonstration intéressante. Une légère douleur au poignet gauche lui rappella qu'il avait un peu forcé avec celui-ci. Il devrait donc faire plus attention la prochaine fois.
Fin du chapitre 5. Comme d'habitude, lachez vos commentaires sur les trois chapitres si vous venez de les lire, les deux derniers si vous aviez lu le n°3 ou le dernier si comme Hebus vous aviez déjà tout lu.
J'attends beaucoup de commentaire. Demain le chapitre 6 et après-demain...vous patienterez trois semaines mais j'ai prévu de vous laissez un espace pour essayer de comprendre ce qui a modifié Toshiro comme cela, espace mis en lien plus haut.
Modifié en dernier par Fuji le 07 mai 2006, 16:56, modifié 7 fois.
riza a écrit :J'aime beaucoup tes chapitres, ils sont supers alala un peu plus et Azusa aller dire ses sentiments a Onizuka j'éspère que la prochaine fois elle lui dira.
Super ton histoire pour l'instant
Certes mais ça serait moins drôle
pour nous qu'elle y arrive facilement vous trouvez pas?Vous pensez quoi du passage où il lance son sabre du pied et le rattrape en "attaquant" Azusa? Moi j'adore cette idée ( j'ai déjà essayé de le faire mais sans quelqu'un pour prendre la place de la prof. )
Je rappelle que si vous mettez pas de commentaires je posterai pas la suite de l'histoire. Je l'écrirai mais je la garderai jalousement pour moi ( et je ferai un résumé en MP à ceux qui sont devenus accros comme Midori, Hebus, Riza, Onizoku...rhaaaa y a trop de nom à mettre )
Pensez à ces pauvres petits fans et postez qu'ils puissent lire la suite de l'histoire qu'ils aiment de plus en plus ( on peut rêver non
)
Pensez à ces pauvres petits fans et postez qu'ils puissent lire la suite de l'histoire qu'ils aiment de plus en plus ( on peut rêver non
)Voilà le chapitre 6, le dernier pendant un laps de temps de 3 semaines/1 mois avant mon retour.
Chapitre 6 : Déjà mort.
Le lendemain en cours, tous les yeux étaient braqués sur Toshiro. Ceux qui étaient présents la veille dans le dojo le regardaient avec une certaine anxiété; ce qui n'avaient entendu que le récit des évènements se demandaient si cela était vrai. Onizuka et Fuyutsuki se trouvaient dans le bureau de Mme Sakuraï où ils tentaient d'en apprendre plus sur cet élève étrange.
- Vous comprenez qu'en tant que professeurs principaux de cette classe il est de notre devoir d'aider un de nos élèves. Fuyutsuki avait encore en mémoire le regard enflammé de Toshiro quand il tenait les deux enseignants à sa merci.
- L'aider? Lui faire la peau oui!
- Je comprend votre point de vue Mlle Fuyutsuki mais je ne peux pas vous aider. Cet élève n'a jamais parlé à qui que ce soit de ses raisons. La seule personne qui pourrait vous aider est sa mère et je ne suis pas sure que le veuille.
Sortant du bureau, les deux enseignants se dirigèrent vers la salle des professeurs. Ils étaient tendus, chacun espérant que l'autre prenne la parole. Lorsqu'il arrivèrent à un croisement, ils apperçurent une affiche grand format qui était une photographie d'Onizuka la veille, après s'être pissé dessus. Bouillant de rage, le Yankee hurla qu'il METTRAIT EN PIECE CE SALE MOME avant de se rendre compte qu'il n'avait pas cours avec la 3e4, à l'inverse d'Azusa.
Assis devant l'une des fenêtres de la salle, Toshiro contemplait le lointain, aussi loin que sa vue lui permettait. Les autres élèves se tenaient à distance respectable de lui, chacun pensant encore à la veille. Il avait mal dormi, sn poignet gauche l'avait lancé toute la nuit durant. Lorsque Mlle Fuyutsuki entra dans la salle, il rejoignit sa place comme les autres.
- Toshiro, je voudrais te parler.
- De quoi voulez-vous me parler? De ce qui s'est passé hier? Si c'est le cas, sachez que je ne regrette pas ce que j'ai fait.
- J'aimerais comprendre pourquoi tu agis comme cela.
- Y a rien à comprendre.
- Il y a forcément une raison qui te pousse à agir comme cela.
- Elle vous regarde pas, insistez pas.
- Ecoute je suis là pour t'aider et...
- ET QU'EST-CE QUE VOUS SAVEZ DE LA DURETE DE LA VIE? QU'EST-CE QUI VOUS AUTORISE A VOULOIR M'AIDER? Il s'était levé en hurlant de sa chaise. Toute sa colère et sa rage étaient expulsées en ce moment. Tout le monde le ragardait avec des yeux ronds car ils ne l'avaient jamais vu comme cela. Reprenant son calme De toute façon dans moins d'un an vous m'aurez oublié alors... Il sortait de la salle quand Fuyutsuki fit une ultime tentative.
- Si tu ne me parles pas de toi, comment veux-tu que je t'aide?
- J'ai pas besoin de votre aide...mais si vous voulez savoir quelque chose sur moi, sachez que je suis déjà mort.
Il quitta la salle sous les yeux incrédules de toutes les personnes qui s'y trouvaient. Personne n'avait noté le changement dans sa voix quand il avait prononcé sa dernière phrase. Personne à part Urumi et Kikuchi.
Une fois dehors, il se mit à errer dans les rues de Tokyo, complétement au hasard. Ses pas lui firent faire toutefois un chemin qui lui était familier. Les pensées qui se bousculaient dans sa tête l'empèchèrent d'y prêter attention. Sortant de sa torpeur, il se rendit compte qu'il s'était machinalement rendu au terrain d'entrainement. Il regarda l'équipe de foot et particulièrement le gardien. Pourquoi avait-il fallu que cela tombe sur lui? Il avait un rêve et avait du y renoncer à cause de cela. C'était il y a 10 et 9 mois.
Fin du chapitre 6. Je vous laisse à vos hypothèses sur Toshiro ( n'oubliez pas de les poster dans le post prévu à cet effet ). Comme d'habitude, lachez vos commentaires.
Chapitre 6 : Déjà mort.
Le lendemain en cours, tous les yeux étaient braqués sur Toshiro. Ceux qui étaient présents la veille dans le dojo le regardaient avec une certaine anxiété; ce qui n'avaient entendu que le récit des évènements se demandaient si cela était vrai. Onizuka et Fuyutsuki se trouvaient dans le bureau de Mme Sakuraï où ils tentaient d'en apprendre plus sur cet élève étrange.
- Vous comprenez qu'en tant que professeurs principaux de cette classe il est de notre devoir d'aider un de nos élèves. Fuyutsuki avait encore en mémoire le regard enflammé de Toshiro quand il tenait les deux enseignants à sa merci.
- L'aider? Lui faire la peau oui!
- Je comprend votre point de vue Mlle Fuyutsuki mais je ne peux pas vous aider. Cet élève n'a jamais parlé à qui que ce soit de ses raisons. La seule personne qui pourrait vous aider est sa mère et je ne suis pas sure que le veuille.
Sortant du bureau, les deux enseignants se dirigèrent vers la salle des professeurs. Ils étaient tendus, chacun espérant que l'autre prenne la parole. Lorsqu'il arrivèrent à un croisement, ils apperçurent une affiche grand format qui était une photographie d'Onizuka la veille, après s'être pissé dessus. Bouillant de rage, le Yankee hurla qu'il METTRAIT EN PIECE CE SALE MOME avant de se rendre compte qu'il n'avait pas cours avec la 3e4, à l'inverse d'Azusa.
Assis devant l'une des fenêtres de la salle, Toshiro contemplait le lointain, aussi loin que sa vue lui permettait. Les autres élèves se tenaient à distance respectable de lui, chacun pensant encore à la veille. Il avait mal dormi, sn poignet gauche l'avait lancé toute la nuit durant. Lorsque Mlle Fuyutsuki entra dans la salle, il rejoignit sa place comme les autres.
- Toshiro, je voudrais te parler.
- De quoi voulez-vous me parler? De ce qui s'est passé hier? Si c'est le cas, sachez que je ne regrette pas ce que j'ai fait.
- J'aimerais comprendre pourquoi tu agis comme cela.
- Y a rien à comprendre.
- Il y a forcément une raison qui te pousse à agir comme cela.
- Elle vous regarde pas, insistez pas.
- Ecoute je suis là pour t'aider et...
- ET QU'EST-CE QUE VOUS SAVEZ DE LA DURETE DE LA VIE? QU'EST-CE QUI VOUS AUTORISE A VOULOIR M'AIDER? Il s'était levé en hurlant de sa chaise. Toute sa colère et sa rage étaient expulsées en ce moment. Tout le monde le ragardait avec des yeux ronds car ils ne l'avaient jamais vu comme cela. Reprenant son calme De toute façon dans moins d'un an vous m'aurez oublié alors... Il sortait de la salle quand Fuyutsuki fit une ultime tentative.
- Si tu ne me parles pas de toi, comment veux-tu que je t'aide?
- J'ai pas besoin de votre aide...mais si vous voulez savoir quelque chose sur moi, sachez que je suis déjà mort.
Il quitta la salle sous les yeux incrédules de toutes les personnes qui s'y trouvaient. Personne n'avait noté le changement dans sa voix quand il avait prononcé sa dernière phrase. Personne à part Urumi et Kikuchi.
Une fois dehors, il se mit à errer dans les rues de Tokyo, complétement au hasard. Ses pas lui firent faire toutefois un chemin qui lui était familier. Les pensées qui se bousculaient dans sa tête l'empèchèrent d'y prêter attention. Sortant de sa torpeur, il se rendit compte qu'il s'était machinalement rendu au terrain d'entrainement. Il regarda l'équipe de foot et particulièrement le gardien. Pourquoi avait-il fallu que cela tombe sur lui? Il avait un rêve et avait du y renoncer à cause de cela. C'était il y a 10 et 9 mois.
Fin du chapitre 6. Je vous laisse à vos hypothèses sur Toshiro ( n'oubliez pas de les poster dans le post prévu à cet effet ). Comme d'habitude, lachez vos commentaires.
C'est un peu fait exprès d'épaissir le mystère.
Quand ce sera terminé vous relirez tout et vous comprendrez chaque élèment.
EDIT pour Riza : c'est le chapitre 7, pas le 3. Sinon tu retardes un peu.
Quand ce sera terminé vous relirez tout et vous comprendrez chaque élèment.
EDIT pour Riza : c'est le chapitre 7, pas le 3. Sinon tu retardes un peu.
Modifié en dernier par Fuji le 09 mai 2006, 11:07, modifié 9 fois.
Salut les gens. Je profite d'un week-end de trois jours ( le prochain sera dans deux semaines ) pour vous donner la suite de ma fic.
Vous vous souvenez que j'avais introduit une nouvelle Cresta pour le sous-directeur Uchimayada? Si vous aimez cette voiture, passez votre chemin.
Chapitre 7 : Un acte de vandalisme.
Après avoir passé plusieurs heures à observer les footballeurs, Toshiro revint à l'école pour prendre ses affaires qu'il avait laissé dans son casier. Au moment de repartir il apperçut la nouvelle Cresta d'Uchimayada. Une douleur intense l'envahit et il sortit certaines choses de son sac : des cailloux de tailles correctes et des bombes à peinture assez spéciales car elles nécessitaient deux chocs pour exploser.
Il attaqua la voiture avec toute la hargne dont il est était capable. Cette voiture l'avait fait tant souffrir et des larmes de rage coulèrent sur ses joues. Lançant avec ses pieds les cailloux et les bombes il massacra le véhicule du pauvre sous-directeur.
Lorsque ce dernier la rejoignit, le choc qu'il reçu fut à la hauteur de l'état de la voiture : cabossée, peinturlurée, les vitres briséees...elle était irrécupérable. Après avoir hurlé toute sa détresse, il alla voir Mme Sakuraï, certain de connaître l'auteur de cet acte atroce.
- IL FAUT LE PUNIR!!VOUS SAVEZ TRES BIEN QUE C'EST LUI QUI A FAIT CA??
- Je ne peux pas le punir comme vous me le demandez. Vous n'êtes pas sans savoir que c'est sa méthode pour faire craquer les professeurs.
- Je le sais. Uchimayada avait repris son calme. Mais il ne peut pas rester impuni!
- Même si nous savons pertinnement que c'est lui qui a fait cela, nous n'avons aucunes preuves concrètes. Je suis désolée pour vous.
Le sous-directeur sortit du bureau en marmonnant Ma Cresta! Ma Cresta! Il croisa Azusa Fuyutsuki qui se dirigeait vers le bureau de la secrétaire générale pour l'informer des évènements de la journée concernant Toshiro.
- Je ne sais pas pourquoi mais tout à l'heure, quand j'ai dit que je souhaitais l'aider, il s'est emporté et il est sorti de la salle. Personne ne l'avait vu comme cela auparavent. D'après Kikuchi et Urumi, sa voix a changé quand il a dit qu'il était déjà mort.
- Vous dîtes qu'il s'est ennervé? Lui qui est toujours si calme et parvient à retourner les nerfs des autres...Impressionant. Vous devriez toutefois faire attention...
- Pourquoi donc? Il n'est pas si méchant que cela j'en suis sur.
- C'est vrai mais si les anciens 4e4 faisaient "disjoncter" leurs professeurs par des attaques psychologiques, lui n'a pas hésité en 5e à blesser physiquement, certes des blessures minimes mais réelles, des enseignants en plus de les avoir attaqués psychologiquement comme il l'a fait avec vous et monsieur Onizuka. Voilà pourquoi on peut le considérer comme la pire de toutes les bombes de la classe.
- Mais personne ne pourrait me renseigner sur lui? Personne n'arrivait à le calmer?
- Une seule de ses camarades en était capable : Tomoko Nomura. Mais elle n'a jamais dit comment elle y parvenait. Le mieux serait d'aller voir la mère de Toshiro dès demain après les cours.
Fin du chapitre 7. Le suivant sera demain et le 9 après demain ( j'en prévois encore 7 ou 8 sans compter celui-là ). Lâchez les coms et postez les suppositions dans la partie appropriée ( suivez le Troll pour cela )
Vous vous souvenez que j'avais introduit une nouvelle Cresta pour le sous-directeur Uchimayada? Si vous aimez cette voiture, passez votre chemin.
Chapitre 7 : Un acte de vandalisme.
Après avoir passé plusieurs heures à observer les footballeurs, Toshiro revint à l'école pour prendre ses affaires qu'il avait laissé dans son casier. Au moment de repartir il apperçut la nouvelle Cresta d'Uchimayada. Une douleur intense l'envahit et il sortit certaines choses de son sac : des cailloux de tailles correctes et des bombes à peinture assez spéciales car elles nécessitaient deux chocs pour exploser.
Il attaqua la voiture avec toute la hargne dont il est était capable. Cette voiture l'avait fait tant souffrir et des larmes de rage coulèrent sur ses joues. Lançant avec ses pieds les cailloux et les bombes il massacra le véhicule du pauvre sous-directeur.
Lorsque ce dernier la rejoignit, le choc qu'il reçu fut à la hauteur de l'état de la voiture : cabossée, peinturlurée, les vitres briséees...elle était irrécupérable. Après avoir hurlé toute sa détresse, il alla voir Mme Sakuraï, certain de connaître l'auteur de cet acte atroce.
- IL FAUT LE PUNIR!!VOUS SAVEZ TRES BIEN QUE C'EST LUI QUI A FAIT CA??
- Je ne peux pas le punir comme vous me le demandez. Vous n'êtes pas sans savoir que c'est sa méthode pour faire craquer les professeurs.
- Je le sais. Uchimayada avait repris son calme. Mais il ne peut pas rester impuni!
- Même si nous savons pertinnement que c'est lui qui a fait cela, nous n'avons aucunes preuves concrètes. Je suis désolée pour vous.
Le sous-directeur sortit du bureau en marmonnant Ma Cresta! Ma Cresta! Il croisa Azusa Fuyutsuki qui se dirigeait vers le bureau de la secrétaire générale pour l'informer des évènements de la journée concernant Toshiro.
- Je ne sais pas pourquoi mais tout à l'heure, quand j'ai dit que je souhaitais l'aider, il s'est emporté et il est sorti de la salle. Personne ne l'avait vu comme cela auparavent. D'après Kikuchi et Urumi, sa voix a changé quand il a dit qu'il était déjà mort.
- Vous dîtes qu'il s'est ennervé? Lui qui est toujours si calme et parvient à retourner les nerfs des autres...Impressionant. Vous devriez toutefois faire attention...
- Pourquoi donc? Il n'est pas si méchant que cela j'en suis sur.
- C'est vrai mais si les anciens 4e4 faisaient "disjoncter" leurs professeurs par des attaques psychologiques, lui n'a pas hésité en 5e à blesser physiquement, certes des blessures minimes mais réelles, des enseignants en plus de les avoir attaqués psychologiquement comme il l'a fait avec vous et monsieur Onizuka. Voilà pourquoi on peut le considérer comme la pire de toutes les bombes de la classe.
- Mais personne ne pourrait me renseigner sur lui? Personne n'arrivait à le calmer?
- Une seule de ses camarades en était capable : Tomoko Nomura. Mais elle n'a jamais dit comment elle y parvenait. Le mieux serait d'aller voir la mère de Toshiro dès demain après les cours.
Fin du chapitre 7. Le suivant sera demain et le 9 après demain ( j'en prévois encore 7 ou 8 sans compter celui-là ). Lâchez les coms et postez les suppositions dans la partie appropriée ( suivez le Troll pour cela
)
! il a vraiment pas de bol Uchiyamada 