Fanfic

[arz]

Ok je vais mettre des pensées internes y'a pas de problèmes.

Chapitre 4: Promenons nous dans les bois.

Le démon a été repéré dans un parc pour enfant ayant un petit bois. Il y a des jeux comme un tobogan, des balançoires, un bac à sable. Des dizaines d'enfant jouent dans ce parc et les parents sont plus préocuppés à bavarder ou lire le journal. Quelques enfants ont remarqués l'arrivé de ces policiers, les autre continuent à jouer.
Li regarde dans toutes les directions et fait venir tout le monde autour de lui.
- Ok, on sait pas où il est, mais il ne faut en AUCUN CAS qu'il ne fasse de mal aux enfants. Entendu, en AUCUN CAS !!
- On va se placer en différents endroits, dit Sakura, si vous le repérez, n'ayez pas peur de crier notre nom.
- Et je le répète ,annonça Li, il ne faut aucun blesser chez les enfants.
*Il a l'air de vouloir vraiment protéger les enfants. pensa Shindo C'est peut être à cause de son passé*

Sakura alla vers les jeux, Suzuka vers les parents, Inukai alla vers l'entrée du parc et Shindo et Li en direction du petit bois. Hanazono resta dans la voiture.
Le ciel se chargea de nuages et se mit à gronder mais les enfants continuaient de jouer.
Quelques personnes faisaient une course dans les bois en vélo ou à pied.
Shindo remarqua l'inquiétude de Li
*Son expérience passée a du le traumatiser.*
A ce moment là, Li vit un buisson bouger et il chuchota à Shindo:
- Il est juste là
Au même moment, une mère appelait son fils. Elle s'inquiètait car cela faisait plus de 30 min qu'elle le cherchait. Elle demanda a plusieurs enfants ou il était passé. Ceux ci lui répondirent qu'il avait suivi un adulte qui lui proposait des bonbons. Elle devenait plus inquiète et alla voir Sakura
- Est ce que vous auriez vu mon fils partir avec un homme ? dit elle d'une voix chevrotante
- Non je suis désolé...mais...attendez.
Sakura coura en direction du petit bois en criant des ordres à Suzuka et Inukai de la suivre.
Li et Shindo se dirigeaient vers le buisson qui bougeait de plus en plus et dont on pouvait entendre un bruit de machouillement. Ils sortirent leurs épées du fourreau et tout d'un coup le buisson arrêta de bouger. Li et Shindo purent entendre Sakura les appelés. Ils se retournèrent pour la regardé et un monstre bondissa sur eux en sortant du buisson. Li se cogna la tête contre un arbre et perda un peu connaissance. Sakura se dirigea vers lui pour le secourir tandis que les autres luttèrent tant bien que mal contre le démon.
Dans son léger coma, Li revoyait son orphelinat, ses camarades, les dessins qu'ils avaient dessinés et accroché aux murs. Il les voyait éclairer par un soleil éclatant mais après le soleil disparu et fit place à la nuit et du sang s'écoula lentement sur les beaux dessins représentant des enfants avec leurs parents, des maisonettes, des soleils. Ces motifs furent caché. Que voyait on à la place ? Du sang. Le sang qui coulait dans les veines des amis de Li. Dans son coma, il s'entendait appeler ses copains ou les personnes qui dirigeaient l'établissement.
- Cheng, Wong, où etes vous ? Qu'est ce qui se passe ? Pourquoi il fait tout noir, pourquoi il y a du sang, pourquoi il y a des yeux rouges qui m'observent du noir ?
Il se réveilla en poussant un grand cri d'effroi. Sakura fut aussi effrayer.
- Li, est ce que ça va ? lui demanda Sakura
Li ne lui répondit pas. Il vit par dessus l'épaule de Sakura ce démon. Ce démon qui lui ôta ses amis, son enfance.
Sans répondre à Sakura, il empoigna son épée et courut tout en criant, l'épée droit devant. Le démon se retourna et se fit transpercer la tête. Suzuka en profita pour lui couper la tête.
Le combat était fini. Les scientifiques de Tokko arrivèrent en moins de 20 minutes sur les lieux.
Li alla regardé dans le buisson. Il vit une petite main d'enfant en ressortir toute ensanglantée. Il se retourna et partit dans le bois. Sakura le remarqua et le suivis
*Je peux l'aider. Non. Je DOIS l'aider*
Li était assis au pied d'un arbre, contemplant sa lame pleine de sang. Il vit Sakura
- Je ne peux accepter de voir des enfants se faire tuer. J'en ai déjà assez vu comme ça.
- Je sais que c'est dur.
Elle alla s'asseoir à ses côtés. Il ne pleurait pas. A quoi bon pleurer se dit elle. Elle se dit juste qu'il ne fallait pas parler de la mère qui cherchait son enfant


Voili voilou pour le chapitre 4.
J'ai mis des pensées internes mais pour les sentiments ça doit pas être encore bon je pense.

[midori]

ben il est pas mal du tout celui-là arz, le meilleur que t'ai ecrit. seul petit bémol , ton participe parfait (enfin je crois que c'est celui là , les cours de grammaire c'est a des années lumières pour moi, si je me sius trompée dite le moi ) on dit pas bondissa mais bondit ; et pas perda mais perdit
voilà c'est tous mais continue, c'est très bien

[Agudlav]

Il perdit et il bondit c'est des passé simple non???

[midori]

je sais plus y loncgtemps que je vais plus au collège, et les participe on les utilise rarement dans la vie courrante et il ya tellement de cojugaison dans la langue française qu'on s'y perd un peux . et si c'était du participe présent

[hebus]

Il perdit et il bondit c'est des passé simple non???

Tout à fait, c'est du simple et pas autre chose! En tout cas, c'est Arz qui devrait surveiller ses conjugaisons.... Et Midori, à son age, devrait etre irréprochable! Re-

[midori]

autant pour moi, je réviserais tout ça c'est promis (en meme tant que ma fille l'apprendra)

[arz]

Merde, j'avoue que pour les fautes de temps j'ai fait fort

Juste une question, voulez vous une fin joyeuse ou un peu moins voir pas du tout ?

[hebus]

Arf, c'est dur de décider! Disons qu'une fin sans mièvrerie ni de pessimisme szerait bien..je déteste autant la mièvrerie que la sinistrose mettant du sang partout histoire de fair ressentir qqchose...Pour moi, une fin sans faux semblants, faites de sacrifices inévitables et difficiles sera parfaite.

[arz]

A vrai dire j'ai prévu une fin pas très joyeuse mais je peux quand même en faire une joyeuse mais ce sera moins facile car tout ce que j'ai prévu mène a une fin triste.

[midori]

Quand est-ce que tu mets la suite de ta fanfic arz? je suis impatiente de la lire

[arz]

Voilà voilà ça arrive. Ces derniers jours j'ai pas eu beaucoup de temps mais ce soir j'en ai.
Alors il y aura une fin pas très joyeuse.
Le chapitre qui va suivre va peut être vous parraître nul car il ne va pas y avoir d'action. Je vais dévelloppé la relation entre le nouveau perso et les Ranmaru. Si je dévelloppe leur relation cela rendra la fin encore moins happy. Mais je vais quand même traité de quelque chose qui aura son importance par la suite.


Chapitre 5: Sister complexe ?

Shindo et les autres membres de Tokko ne veulent pas revenir sur ce qui c'était passé au parc. Ils ont compris que la mort de cet enfant a fait de la peine à Li. Par la même occasion un député, Yoshi Tamagoshi, (je précise que cet homme est totalement fictif fruit de mon esprit tordu) a été enlevé et aucun groupuscule ou personne n'a revendiqué son kidnapping. L'inspecteur de police qui a été mis sur cette enquête n'est autre que Kunikida san, l'ancien chef de Shindo et Hanazono. Kunikida san qui, par la même occasion, mène sa petite enquête sur les actes de Tokko et sur son nouveau membre. Mais Tokko n'en a cure de ce Kunikida, il n'arrive pas à lui faire de l'ombre.

Depuis peu, Saya s'est mis à la cuisine chinoise pour ne pas dépayser Li.
- Sayaaaa ??? dit Shindo avec la plus belle voix qu'il puisse prendre
- Oui mon grand frère
- Pourrais tu arrêter de détruire les ustensiles de cuisine ?? continua t-il d'une voix mélodieuse
- Mais je fais de la cuisine chinoise pour Li
- Sauf que vois tu, ça ne le dérange pas de manger japonais, toujours avec une voix douce comme du miel
- Mais il va être dépayser !!
- Et alors, quand on vient dans un autre pays on goûte à sa cuisine et pas la sienne surtout quand on a une soeur qui bousille les casserole et poele !!! cette fois ci, il hurlait comme un fou
- Grand frère, reste calme.
- Je suis calme !!!!!
- Euh on va s'arrêté ici pour les engueulade, dit Li, et si on allait manger italien ? J'invite.
- Oh oui, c'est une excellente idée, s'écria Saya toute contente Alors Shindo on y va ?
- grmbll de soeur peuh gneugneu

Le restaurent avait une tapisserie rouge pétant sur les murs, avec des peintures représentant des monuments d'Italie, les tables avaient des nappes à carreaux rouges et blancs. Les serveurs étaient tous italien et cela rendait un bon cadre au restaurent.
- Ma, si vous voulé bien mé souivre leur dit un serveur
- Wah, on se croirait presque en Italie !!! Saya était tout exaltée
Le repas avait été délicieux. Saya n'en pouvait plus tandis que Shindo et Li avaient été plus raisonnable (Li pensait à son porte monnaie).
- Oh Li, je suis désolée d'avoir commandée autant de plats. Vous allez réussir à tout payer lui demanda Saya
- Oui bien sur
*Mais après j'aurais plus rien...*
Lorsque l'addition fut amennée, Li regarda anxieusement son porte monnaie. Il avait tout juste le compte
*Bon et bien je suis à sec*
Après avoir payer, ils se dirigèrent vers le bord de la mer (le restaurent est au bord de mer). Il y avait des couples d'amoureux dont l'homme achetait des roses à un vendeur au noir pour l'offrir à sa compagne. Saya les regardait tout en se disant:
*On m'a jamais offert de fleurs*
Li remarqua à quoi elle pensait
- Tu aimerais qu'on t'offre des fleurs ?
- Oh oui mais tu n'a plus d'argent, se tournant vers son frère et parlant sur un ton noir, et lui il aura une excuse pour dire qu'il n'a pas d'argent.
- Bah oui j'ai pas mon porte monnaie car c'est Li qui nous avait invité donc j'ai pensé qu'il n'y avait pas besoin de le prendre, riposta Shindo
- Pas besoin d'argent, dit Li.
Il s'approcha de Saya et il passa sa main dans ses cheveux. Elle rougissait mais elle aimait cela. Shindo devint rouge de colère prêt à gueuler sur sa soeur mais avant qu'il ne puisse l'ouvrir (un peu comme Murai et sa mère), Li retira sa main et sorti des cheveux de Saya, une magnifique rose rouge.
- Pour tout les services que vous m'avez donné ou que vous me ferez.
- Oooh elle est magnifique merci beaucoup !!!
Elle sauta au cou de Li et lui fit une bise sur la joue. Shindo était troublé. Il n'avait jamais vu sa soeur avec ses petit copain et tant mieux pour lui se dit il parce que la seul fois qu'il l'avait vu avec un homme, il avait fait de l'eczéma et était monté à une tension dangereuse. C'est depuis ce jour que Hanazono l'embêta avec son sister complexe.
Quoiqu'il en soit il fit la trogne toute la soirée.
En même temps, à Shinjuku, un homme au cheveux longs entra dans une voiture au vitres teitées. Qui est il ?

Le lendemain Shindo avait mal dormi. Hanazono lui demanda pourquoi.
- Dis voir, t'as mal dormi. Comment ça se fait ?
- Ma soeur a recu une rose de Li.
- Ah je vois......ton sister complexe remonte wahahah !!!!!
- Arf ta gueule !!!!
- C'est bientôt fini vos enfantillage, leur lança Sakura, retournez bosser !!
- Oui chef, dirent ils en choeur


Un chapitre pas très important je trouve mais dont les événements serviront plus tard comme le député, l'homme de la voiture et la liaison qui unira Li et Saya.

EDIT: ce soir le chapitre suivant qui sera mieux je vous le promet

[arz]

Le chapitre 6. Enfin les choses sérieuses vont commencer.
Parce que je sais que le précédent chapitre est moyen (voir carrément nul) alors je vais me rattraper.

Chapitre 6: On ne joue pas avec la nourriture

Deux semaines que aucun démon ne s'est manifesté. Tokko doit donc s'occuper d'affaire moins bizarre pour couvrir les dires de l'opinion publique qui dit que Tokko cache quelque chose qu'il ne faut pas cacher.
L'affaire qui occupe Tokko n'est autre qu'un traffic d'hommes venant d'Inde, Malaisie ou Indonésie perpétré par les Yakuzas. Ce sont de riche Yakuzas qui financent le transport de ces hommes pour ensuite les exploités.
Shindo, Li, Hanazono et Inukai sont dans une voiture, au port, scrutant un navire arrivé il y a deux heures et qui attend d'être déchargé.
Il fait chaud, très chaud. Tout le monde souffre surtout Hanazono. Li est celui qui à le moins chaud, pratiquant une méditation qu'il a appris à Shaolin.
Deux heures qu'ils attendent et ils commencent à griller. Enfin des dockers arrivent et une grue se met en marche.
- Très bien, Hanazono, Inukai vous savez ce que vous devez faire ? leur demanda Shindo
- Ouais tout est ok, lui répondit Hanazono
Inukai répondit d'un signe de tête.
Ils sortirent tout les deux de la voiture habillé en douanier. Ils se cachèrent derrière un mur et attendirent qu'une caisse plus grosse que les autres et ayant des trous soit déchargé. Ils se décidèrent à y aller
- Bonjour messieurs, leur dit Hanazono, petite inspection.
- Nous sommes en ordre, nous avons signé tous les papiers, lui répondit le capitaine du navire
- Quel est votre chargement ? lui demanda Inukai
- Des plaques de métal pour une usine de voiture
Hanazono se dirigea vers la grosse caisse trouée
- Dites voir, cette caisse est plus grosse que les autres, il y a quoi à l'intérieur ?
- Un autre métal et cette pièce est plus grande
- Ah oui, alors pourquoi il y des trous ? C'est pour aérer le métal ?
- Je ne sais pas, on m'a passé cette caisse comme cela, il prit un ton plus colérique
- Ces trous sont suspects. Ouvrez la caisse, lui ordonna Hanazono
- Monsieur je suis en règle, les papiers ont été signés mon chargement a été déclaré je ne vois donc pas l'intêret d'ouvrir cette caisse !! il avait un ton encore plus colérique
Hanazono se saisissa d'un pied de biche et retourna vers la caisse. Le capitaine lança un ordre en malaisien à son équipage. Ils sortirent tous un pistolet. Inukai et Hanazono se couvrir derrière un camion et ripostèrent.
Shindo et Li s'étaient placés en haut de l'entrepôt juste en face du navire. Li avait avec lui un fusil à lunette. Shindo chargea son arme et redescendit pour aider ses compagnons en bas. Les matelots étaient cinq. Les dockers étaient partis se caché. Li élimina, du haut de son bâtiment 3 hommes. Du moins il les blessa suffisemment pour qu'il ne puisse plus tirer. Les deux autres se rendirent et Hanazono et Inukai leurs passèrent les menottes et ils allèrent ensuite s'occuper des blessés.
Li prit le peid de biche. Il le posa sur l'ouverture de la caisse trouée et poussa de toutes ses forces. La porte s'ouvrit laissant s'échapper une odeur inhumaine.
Du sang, du sang et des membres humains éparpillés partout. L'odeur était insupportable avec la chaleur. Le massacre a dut avoir lieu il y a seulement une heure car le sang était très frais. On ne pouvait savoir le nombre de personnes qu'il y avait. Les visages étaient tellement mutilés que l'on ne reconnaissait même plus les formes.
Shindo regarda et resta figé. Cela lui rappelait le massacre de Machida
*Non...pas Machida non...ne pas s'en souvenir*
Shindo tituba et tomba à terre. Inukai vint vers lui et vit ce qu'il y avait dans la caisse. Il resta bouche bée et détourna son regard. Hanazono vint aussi au secours de Shindo et dès qu'il vit les morts et surtout qu'il senti l'odeur il se mit à vomir.
Li se mit un mouchoir sur la bouche et alla au centre de la caisse.
Tout les passagers clandestins avaient été massacrés. Seul des démons auraient pu faire ça.
Une chose brillait juste à côté d'une tête entièrement ouverte. Il poussa la tête à contre coeur et il remarqua une montre. Une montre en or ensanglantée. Il la prit et sorti de la caisse. Il l'essuya et la contempla. Une montre si luxueuse n'a pas pu être portée par un clandestin ou alors elle aurait été volée par un membre de l'équipage. Non une seule solution. Les démons ont laissés un indice. En effet en la tâtant, il senti comme des creux et des bosses. Il la retourna. Une adresse était gravée sur le bracelet. Kyoto. Les monstres veulent l'envoyé à Kyoto. Pourquoi faire ? Pour lui montrer un autre indice pour lui en mené à un autre pour les retrouvé. C'est surement un piège. Mais cela peut lui apprendre plein de chose sur ces monstres.
Shindo reprit tant bien que mal ses esprits et alla rejoindre Li.
- Cette montre, tu l'as trouvé dans la caisse ?
- Oui
- Pourquoi elle était là car je doute que des clandestins aient des montres en or ?
- Ils nous ont laissé un indice
- Un indice ?
- Ils veulent jouer avec nous avant de nous manger.
Les sirènes retentirent. Les scientifiques de Tokko arrivèrent.
Les plaisanteries ont assez durées


Voilà le ton est donné, la vraie histoire peut commencer.

[hebus]

Ca prend une bonne tournure là, c'est super ! Euh sinon rien à redire....

[arz]

Ce soir je n'ai pas assez de temps alors demain le chapitre 7.

[arz]

L'histoire, à partir de maintenant, sera plus portée sur une enquête tout en incluant des scènes de combat. Sachez que l'histoire est maintenant complètement fruit de mon imagination et que certaines thèses, que les personnages au début croyaient, vont être misent en cause.

Chapitre 7: Petit vieux

L'adresse gravée sur le bracelet indique 19 rue de Shotoku Taishi à Kyoto. (rue fictive mais le nom, lui, ne l'est pas) Plus espacé à l'adresse il y a gravé le chiffre 3.
Li décida d'y aller seul
- Mais si c'était un piège ? lui lança Shindo
- Je saurais m'en sortir, lui répondit Li
- En es tu sur ?
- Ecoute, tu vas resté ici pour t'occuper de ta soeur, ne t'inquiètes pas pour moi et ne contestes pas car c'est comme cela.
SHindo voulut riposter mais Li l'arrêta. Shindo le voyait partir.
*Esperons qu'il ne lui arrive rien sinon on est dans la merde*
Li regardait les motos stationnées. Il en repéra une qui n'était pas accrochée. Il s'avance vers elle et la tripatouilla jusqu'à ce qu'elle démarre. C'était une Kawasaki Z-II.
Il roula à toute vitesse jusqu'à Kyoto. Il était déjà midi et il commencait à avoir faim mais il fallait d'abord trouver l'adresse.
Il l'a trouva après avoir demandé beaucoup d'indications au passant.
C'était un magasin d'antiquités venant de tout les continents. En vitrine un ex-voto d'Afrique noire, un fusil des guerres napoléoniennes et une armure de samouraï.
Il poussa la porte et une sonette se fit entendre. Aucun vendeur. Il fit donc le tour du magasin. Il repéra en arrière boutique des petits casiers numérotés de 1 à 12. Y aurait il un lien avoir le chiffre 3 gravé à côté de l'adresse ? Après 5 minutes un vendeur apparut.
Il était petit, assez vieux avec des cheveux gris hirsutes, des habits sales et il semblait fatigué par le poids des ans.
- Que puis je faire pour vous ?
- Euh, bonjour, j'ai hérité de cette montre dont est gravé sur le bracelet votre adresse et un chiffre. Le chiffre 3 précisément.
Le petit vieux lui prit la montre et la regarda avec une loupe poussiéreuse.
- Très interessant, je dirais années 30, lui dit le vieux subjugé par la montre
- Vous dites qu'elle daterait des années 30 ?
- Pas sur, il faudrait faire de plus grandes analyses mais dans ce style je dirais années 30.
- Mmh...votre magasin date de quand ?
- Oh je le tiens de mon père qui le tenait de son père autrement dit de mon grand père. Au départ c'était un...
- Oui mais avez vous une date précise, lui demanda Li en le coupant
- 1910.
Il l'ouvrit et regarda la mécanique puis il regarda encore mais cette fois ci avec sa loupe.
- Oh ! Une mécanique digne des plus grands horlogers suisses...mais ce que je comprend pas, c'est ces petites entailles à intervalle irrégulier sur les bords du cadran. A t-elle eue un mauvais traitement ?
- Je ne sais pas du tout. Auriez vous une idée de ce que signifie le chiffre 3 gravé sur le bracelet juste à côté de votre adresse ?
Le vendeur retourna la montre et observa les gravures
- Comment oser blasphémé une telle montre, grogna le vieux dans sa barbe, je suis désolé mais je ne vois pas.
Le terme blasphémé prononcé par le vieux fit sourire Li mais sa réponse le rendit à nouveau sérieux. Il regarda les casiers au fond de l'arrière boutique.
- Est ce que ce chiffre 3 ne corresponderait pas au caiser n°3 situé dans votre arrière boutique ?
Le vendeur se retourna et sans dire mot il alla se dirigé vers un bureau d'où il prit des clés. Il fit geste à Li de venir avec lui. Arrivé devant le casier n°3. il enfonca la clé dans la serrure et tourna lentement comme si il craignait que quelque chose en sorte.
- Ces casiers datent de 1941, je me suis toujours demandé pourquoi ils existent toujours d'ailleurs. Selon le registre que tenait mon père, le casier n°3 a été ouvert pour la dernière fois en 1945.
En disant cela, il sortit une vieille boîte poussiéreuse. Au premier regard Li comprit que c'était le second indice.
- Enfin.
- Comment ?
- Non rien, hem je crois que ceci est la chose que je cherche.
- Vraiment ?
- Oui.
Li demanda s'il pouvait prendre avec lui cette boîte. Le vendeur acquiesca comme s'il était ravi qu'on la lui prenne.
Li s'acheta un sandwich et étudia la boîte tout en mangeant.

Pendant ce temps là, à Tokyo, chez Shindo et Saya, des yakuzas avaient fait une descente.
- C'est pour défendre au mieux nos intêret. expliqua le chef des yaks à Shindo. Vous nous avez fait perdre beaucoup d'influence et d'argent et à vous deux vous allez nous permettre de regagner ce que nous avons perdu.
- Alors laissez la au moins, elle n'a rien à voir dans l'histoire, cria Shindo
- Peu importe elle fera son petit effet à mes hommes hin hin.


Voilà. Nos héros commencent à avoir des ennemis de partout.