Résumé complet du tome 9 de GTO
GTO tome 9


Leçon 69 : Les cookies maléfiques

Ruruka et Onizuka

Pour donner suite au huitième tome de GTO, le neuvième s'ouvre avec un premier chapitre reprenant les aventures de nos trois apprenties sorcières. Rappelez-vous, Ruruka Hikita est persuadée que son prof principal s'est éprit d'elle à cause d'une incantation qui aurait mal tournée ... La voici maintenant en train de remuer vents et marées pour briser la malédiction qui s'est abattue sur sa petite vie tranquille tournant autour du beau Itô.
Si ce garçon qu'elle aime tant ne s'est pas encore aperçu de l'existence de la jeune fille, ça ne saurait tarder. En effet, par un malheureux hasard, Ruruka va finalement vivre le pire cauchemar qu'elle ait imaginée ... Attention, sueurs froides à l'horizon, âmes sensibles s'abstenir ! Alors qu'elle courai vaillamment vers l'homme de sa vie, Ruruka percute malencontreusement une autre personne que son prince charmant ... et cette autre personne, vous vous en doutez bien, est Eikichi Onizuka qui, toujours fidèle à lui même, ne rate pas une occasion pour profiter de la situation un minimum. C'est donc bouche contre bouche et mains contre poitrine (est-il vraiment nécessaire de préciser à qui appartiennent ces petites mimines ?) que notre duo se retrouve enlacé devant témoins.
Horrifiée, les yeux remplis de larmes, Ruruka, dégoûtée, voit tout son avenir écroulé et anéanti par cette catastrophe ! La voilà salie à jamais !
Mais comme le dit si bien le vieux dicton : "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir !". Il est temps pour nos trois copines de troquer leurs robes de sorcières pour enfiler leur costume "kawaii" en guise de tablier pour mettre "la main à la pâte" et cuisiner les fameux cookies-ayant-la-capacité-de-rompre-le-mauvais-sort-qui-s'est-infiltré-pendant-le-baiser. Comment est-ce possible ? L'idée est simple mais corsée : faire mourir Onizuka en l'empoisonnant ... Bon courage les filles ! Et bon appétit à Eikichi et ... Itô !!!!! oO


Leçon 70 : Enseignante ?

Fuyutsuki

Azusa Fuyutsuki, jeune et jolie enseignante débutante dans le métier, à la cote ... enfin, auprès de ses élèves de sexe masculin essentiellement. La jeune femme est submergée par leurs invitations ! Une vraie célébrité harcelée par son fan-club dont le premier membre réussissant à obtenir un rendez-vous sera inévitablement jalousé par tous ses camardes.
Pourtant, au fond de la classe, un silence de consternation et de mépris prend forme, tels les dangereux nuages près à éclater de colère et désireux de peupler le ciel si clair avant un orage. En effet, ces lourds nuages ne sont pas si innocents et vont finalement prendre place dans la vie professionnelle d'Azusa, s'imposant petit à petit dans son coeur : une lame de cutter perdue dans un paquet de copies, une séquestration dans les toilettes : les filles de sa classe sont bien décidées à prendre les pires mesures pour mettre fin à la carrière de Fuyutsuki.
Il lui faudra tout le courage du monde pour se rendre, le lendemain, à son cours. Mais Azusa a perdu toute confiance en elle, et lorsqu’elle aperçoit des injures se reflétant d'un blanc éclatant sur le tableau, elle n'arrive pas à comprendre pourquoi la gente féminine la rejette ainsi. C'est là que notre Great Teacher intervient, proposant à sa collègue visiblement "à bout" de sécher les cours !


Leçon 71 : Le jardin secret

Onizuka et Fuyutsuki

"Jusqu'où un enseignant est-il responsable de ses élèves ?". A grande question pédagogique, grande réponse polémique. Azusa est perdue parmi ses réflexions, ses erreurs, ses remises en cause et ses interrogations. Le métier de professeur est loin d'être de tout repos. Comment ne pas "craquer" ? Il faut savoir parfois s'accorder une journée de détente pour décompresser. Partir. Partir loin, loin de la vie quotidienne, loin des regards accusateurs, loin des commérages, loin de tout. Faire le vide en soi.
Eikichi connaît parfaitement cet endroit : ce lieu où personne ne pourra jamais les trouver, lui et Azusa ... Mais les deux collègues sont-ils vraiment sur la même longueur d'onde ? Transporté par la moto d'Eikichi, le couple vogue en direction ... d'un hôtel ... la jeune prof a-t-elle eu raison de faire confiance à l'aveuglette (et c'est le cas de le dire puisqu'elle ne voit absolument rien derrière son casque) à Onizuka ? Envahie par l'obscurité, petit à petit les ténèbres et l'inquiétude continuent de l'encercle : ses élèves qui ne l'acceptent pas, puis Eikichi voulant profiter de la situation, mais que se passe-t-il à la fin ? Pourquoi la vie d'une femme est-elle si compliquée dans cette société où "les hommes sont le centre du monde" ? Où trouver sa place ? Comment libérer un coeur prisonnier d'énormes nuages remplis de tristesse, prêt à la déverser à tout moment sur ce monde ?
Il suffit parfois d'ouvrir les yeux ... les nuages se dissipent toujours, il suffit de trouver un brin de lumière éclairant nos pas et notre chemin. Une fois transpercés par les éclairs de l'orage, les nuages finissent par laisser passer un rayon de soleil par cette fente devenue une faille qui marque la fin de la tempête, et le début du beau temps, d'une nouvelle chance. D'abord intimidée et surprise par les lueurs du soleil, Azusa va finalement ouvrir les yeux ... loin de tous ses tracas et aux côtés d'un homme qui a su la comprendre ...


Leçon 72 : Aimez-vous les jolies mères ?

Julia Murai en robe de mariée

Jeune, jolie, et sexy en plus, la mère de Murai a tout pour plaire et suscite inconsciemment les émois de la gente masculine. Son pauvre fils est d'ailleurs aux limites de la syncope lorsqu'il surprend ses amis à jouer les voyeuristes et à baver d'admiration devant le délicieux spectacle offert par la créature aux formes généreuses. Justement, Mlle Murai, véritable incarnation de la déesse Aphrodite n'aurait-elle donc jamais pensé à se remarier ? Grande question provoquant quelques sueurs froides chez le jeune protecteur.
En effet, tel le Bodyguard de ces dames, Murai va commencer à s'infiltrer dans la vie privée de sa mère, tout en s'inquiétant de ses fréquentations. Peu à peu, l'idée qu'un homme inconnu est en train de prendre place dans le coeur de la divinité devient de plus en plus insupportable. Et lorsque Kunio tombe par hasard sur un magazine de mariage enfouit bien au fond du sac à main, les soupçons prennent rapidement un air de paranoïa, obligeant l'adolescent d'endosser le rôle de Nakasone ... "Ni vu, ni connu" n'est pas l'expression la plus appropriée pour définir l'aspect physionomique de Murai dans la peau de l'ancien premier ministre ... Effectivement, les pointes ressortant dangereusement de sa bâte de baseball contrastent particulièrement avec sa fausse identité.
Mais quand le coeur d'une mère s'emballe pour un homme ressemblant au compagnon du célèbre Astroboy, le coeur du fils, lui, supporte difficilement la situation ! Alors, je vous laisse imaginer le carnage que Kunio déchaîné a provoqué en voyant sa mère s'admirer devant l'immense miroir trônant devant elle ... en robe de marié ...
Mais cet homme se tenant fièrement à ses côtés, qui est-il réellement ?


Leçon 73 : Adorable Fukada

Murai, Fujiyoshu, et Kusano

Murai est amoureux ! De qui ? D'une certaine Fukada, jeune fille prometteuse et très populaire dans tout le collège. Ca tombe bien, la lettre d'amour adressée à notre jeune héro est signée de la main d'une certaine F. "Impossible n'est pas français" surtout concernant les sentiments. Cependant, nous sommes au Japon et non en France, alors est-il vraiment possible que cette initiale ne fasse qu'un avec le délicat prénom de l'élu de son cœur ?
C'est devenu une obsession, presque une évidence : chaque regard, chaque sourire de l'adorable Fukada est adressé à une seule est même personne, destinataire de chaque lettre couronnée d'un F en guise de point final. Si à l'époque ancienne on utilisait des pigeons voyageurs pour adresser un message par courrier, la pratique n'a pas tout à fait disparue et grâce à l'innovation, a gagné en charme et en élégance. Au collège de Murai, elle porte le nom de Kujirakawa, immense jeune fille au coeur sensible servant de messager reliant Murai à Fukada.
Les lettres se faisant de plus en plus nombreuses et oppressantes, Kujirakawa et Murai sont amenés à se voir plus régulièrement avec toujours les mêmes questions : Qui est F ? Quels sont tes sentiments ? Comme aucun des deux protagonistes ne se décide à répondre, les doutes se resserrent autour de F. Serais-ce possible que cette lettre soit à la hauteur de celle qui en est l'auteur ? Kujirakawa Fuyumi ?


Leçon 74 : Immensité et ...

Kujirakawa

Et un, et deux, et trois ... (zéro ... >_> nostalgie des temps passés ... lol). Oui, troisième message pour Kunio Murai qui commence à désenchanter en comprenant que l'élu de son coeur n'est pas la mystérieuse F. restant toujours une énigme. Pourtant, l'inspecteur Murai enquête tant bien que mal à la recherche du moindre petit indice pouvant l'éclairer. Ses soupçons se referment progressivement sur une même victime qui occupe vraisemblablement de plus en plus de place dans son esprit : Fuyumi Kujirakawa qui semble bien connaître les sentiments de cette F., c'est d'ailleurs comme si elle les éprouvait elle-même.
Kunio n'est pas dupe au point de continuer à faire languir la jeune fille impatiente de connaître ce qu'il ressent pour elle. Sa réponse honnête et franche va transpercer, telle une flèche empoisonnée de Cupidon, le coeur de Fuyumi au regard ravagé de tristesse. Il lui faudra un ultime effort pour dérider son visage et éclater de rire tout en tendant la lettre à Murai, une lettre finissant par les caractères composant le nom de ... Fukada !
Non, ce n'est pas un rêve, ni une plaisanterie ! Le rendez-vous est fixé au cinéma alors pas question d'être en retard (ou de penser à une autre fille ...). Kunio se retrouve enfin seul avec elle, elle si jolie, si populaire, si parfaite, elle, Fukada, spéciale ... au sourire ravageur comparable à celui du prédateur charmant ses victimes sur l'image projeté sur le grand écran diffusant "La rivière du requin" ...
Horreur ! Fukada n'est pas cette Fukada là !


Leçon 75 : Son of a bitch !

Sakurai

Quelle image pitoyable et perverse les professeurs de sexe masculin se sont-ils forgés dans ce manga !! Entre un sous-directeur abusant de la présence féminine et un Eikichi Onizuka de plus en plus sensible à tout comportement évocateur, il semblerait que Mr Sakurai se soit laissé aller à ce petit passe temps de voyeurisme ... Une mini caméra soigneusement déposée sur le dessus de sa chaussure, reliée à un appareil visuel remplaçant ses habituelles lunettes de vue, le professeur d'anglais se livre chaque jour à la diffusion d'images comblant apparemment son manque de plaisir quotidien. Alors, quand Miyabi décide de mettre fin définitivement aux pitreries de son prof principal dénommé Onizuka, tout moyen est bon pour arriver à son but. Aussi, il ne lui sera pas très compliqué de mettre Mr Sakurai "dans sa poche". Le chantage marche à tous les coups, surtout quand les menaces consistent à dévoiler une vie privée pas très claire, susceptible de ruiner les situations familiale et professionnelle de son enseignant ... Miyabi est très sérieuse et n'a pas du tout l'intention d'échouer dans son plan qui promet d'être inquiétant ...


Leçon 76 : Le prix du matage

Sakurai en comagnie de Miyabi et ses amies

Prit sur le fait (je rappelle rapidement que Mr Sakurai s'adonne à des activités perverses), le prof d'anglais est contraint d'inviter le groupe de Miyabi à venir "étudier" chez lui. Excuse donnée à sa femme, mais qui, une fois partie, devient rapidement un gros mensonge. Les trois jeunes filles ne sont pas là pour réviser leur anglais mais plutôt pour négocier, ou "pourparler" comme dirait le célèbre Jack Sparrow. Fouillant de fond en comble une pièce aux allures de bureau de travail, Miyabi est ses amies vont transformer cet endroit de réflexion en un lieu proche du sex-shop de "la rue des plaisirs"... le masque est levé, la camouflage de l'enseignant équilibré à la vie saine et de bonne famille n'est plus qu'une illusion : cassettes, sous-vêtements ... toutes les preuves sont rassemblées et maintenant à porter de main. Il ne reste plus qu'à Miyabi de faire chanter Mr Sakurai ...
Pendant ce temps, c'est "mission commando" au collège ! Une vraie guerre sanglante s'est déchaînée opposant quatre troupes assoiffées du liquide rouge vif coulant dans nos veines et vital à notre survie (on peux aussi appeler ça un paintball très heureux ). Il va falloir user de ruse et de malice à notre cher Onizuka pour exterminer ses détracteurs particulièrement bien armés. Oui, parce qu'Eikichi est bien sûr de la partie ! très heureux


Leçon 77 : Il n'y a pas d'argent ?!

Onizuka et Uchiyamada

Les tournesols inspirent Mr Uchiyamada. On peut même dire que la seule pensée de voir fleurir cette fleur le rend tout joyeux, lui remémorant de vieux souvenirs romantiques et émouvants. Pourtant, alors que ce matin le sous-directeur a le coeur léger et distribue des sourires à qui veut bien y croire, il ne trouvera pas ses si précieux tournesols faisant de l'oeil au beau soleil matinal. En effet, le Great Teacher le plus connu du collège s'engage dans le jardinage et a bien l'intention de réussir une beau potager : au revoir les fleurs au souvenirs de coeurs !
Un début de journée ordinaire finalement. Pourtant, le plan diabolique de Miyabi est déjà en marche et il semblerait que la fête de l'école en soit la base. Et quitte à garantir le renvoi d'Onizuka, autant se servir des pions l'entourant en impliquant Fujiyoshi dans le coup. Ainsi, celui-ci est chargé de récolter l'argent liquide pour la sortie de classe. L'argent, Fujiyoshi le sait bien, c'est précieux, et pourtant l'enseignement du Bouddha encourageant à s'opter tout désir matériel et immatériel, ne semble pas frapper l'esprit du jeune homme profitant d'une partie de sa récolte pour s'offrir la dernière montre à la mode au prix exorbitant ... Trop occupé à contempler son chef d'ouvre ornant son poignet gauche, Fujiyoshi s'aperçoit trop tard de son erreur : l'argent a disparut !
Quelqu'un l'aurait volé ? Et si c'était Onizuka?!!!


© Yoshu (2004-2024)
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